INAUBI, l’expert Google au service du cloud éducatif et professionnel

Spécialiste des solutions Google, INAUBI accompagne entreprises et établissements dans leur transformation numérique grâce à une expertise certifiée sur l’ensemble des outils collaboratifs et cloud de la firme de Mountain View.

À l’heure de la numérisation accélérée du travail et de l’enseignement, les solutions cloud de Google s’imposent comme des leviers essentiels de performance. INAUBI, entreprise française partenaire officiel de Google, se positionne comme un expert incontournable pour les organisations souhaitant intégrer ces technologies de façon stratégique. Forte d’une double certification — Google Cloud Partner et Google for Education Partner —, INAUBI propose un accompagnement global : conseil, configuration, matériel, formation et support. Son approche personnalisée permet de répondre aux besoins spécifiques de chaque structure, qu’il s’agisse d’une PME, d’un groupe international ou d’un établissement scolaire. Un partenaire technologique de proximité qui conjugue innovation, expertise et adaptabilité.

INAUBI s’est forgé une réputation solide en tant que partenaire exclusif Google, en apportant des solutions cloud sur-mesure à des organisations très diverses. À travers ses certifications Google Cloud Partner et Google for Education Partner, l’entreprise s’inscrit dans une dynamique d’expertise et de confiance, en lien direct avec les équipes de Google. Revendeur Google Workspace Inaubi intervient auprès de ses clients comme un véritable conseiller stratégique dans la sélection et l’implémentation des outils numériques collaboratifs.

Au centre de son offre, les suites Google Workspace — Business et Education — constituent des outils puissants de collaboration et de productivité. INAUBI accompagne ses clients dans le choix, la configuration et le déploiement de ces outils, en fonction de leurs objectifs, de leur taille et de leur secteur d’activité. Cet accompagnement sur mesure garantit un usage optimal des fonctionnalités, adaptées à chaque contexte organisationnel.

L’entreprise ne se contente pas d’un rôle de conseil. Elle intervient dans l’implémentation concrète, assure un suivi technique, forme les équipes et reste en veille permanente sur les mises à jour Google. Objectif : garantir une adoption fluide et pérenne des outils numériques. Les utilisateurs gagnent ainsi en autonomie et en efficacité dans un environnement sécurisé et cohérent.

Dans le secteur de l’éducation, INAUBI apporte une réponse concrète aux établissements souhaitant moderniser leur approche pédagogique. Grâce à Google Workspace for Education, Chrome Education Upgrade et Jamboard, les enseignants disposent d’outils interactifs tandis que les administrateurs gèrent plus simplement les équipements numériques. Là encore, INAUBI adapte l’offre à la structure, au budget et aux contraintes pédagogiques de chaque établissement.

La dimension matérielle constitue également un volet clé de l’offre INAUBI. L’entreprise propose des solutions basées sur Chrome Enterprise, incluant Chromebooks, écrans interactifs et outils de visioconférence. INAUBI prend en charge la sélection du matériel, son paramétrage et le déploiement, avec un suivi technique constant.

Ce positionnement global — outils, matériel, formation et support — permet à INAUBI de se démarquer. Plutôt que de proposer une solution standardisée, l’entreprise conçoit des environnements numériques personnalisés, évolutifs et alignés sur les priorités des organisations. Elle répond aux enjeux actuels : cybersécurité, souveraineté des données, collaboration à distance ou encore gestion centralisée des appareils.

Grâce à son statut de partenaire certifié, INAUBI bénéficie d’un accès anticipé aux nouveautés Google, ainsi qu’à des ressources exclusives. Elle peut ainsi proposer à ses clients les dernières innovations dès leur sortie, et les accompagner dans leur adoption rapide. Ce lien privilégié avec Google constitue un avantage stratégique important dans un secteur en évolution permanente.

Enfin, INAUBI se distingue par sa proximité et son écoute. Chaque projet commence par un diagnostic précis, suivi d’une mise en œuvre progressive et adaptée. Une méthode agile, centrée sur les besoins réels des utilisateurs et orientée vers la montée en compétence durable.

Dans un monde où le numérique devient un pilier du quotidien professionnel et éducatif, INAUBI apparaît comme un acteur clé de la transition cloud. Son expertise Google, sa capacité d’adaptation et sa vision centrée utilisateur en font un partenaire de choix pour bâtir les environnements de travail et d’apprentissage de demain.

Partouche en croisade contre les jeux illégaux en ligne

Le Groupe Partouche tire la sonnette d’alarme face à la recrudescence des fraudes en ligne exploitant son image. Une lutte d’envergure s’engage contre les jeux illégaux, en collaboration avec les géants du web.

Depuis plusieurs mois, un phénomène inquiétant prend de l’ampleur sur les réseaux sociaux : des escrocs exploitent sans scrupule l’image du Groupe Partouche pour rediriger les internautes vers des plateformes de jeux en ligne illégales. Ces contenus frauduleux, le blog ZATAZ, référence des actualités Cyber Sécurité s’en était fait l’écho en mars 2025, souvent habilement conçus, abusent de la notoriété du groupe pour piéger des joueurs en quête de gains rapides. Face à cette vague de détournements d’image et à l’essor des offres illicites, Partouche réagit avec fermeté. L’entreprise entame une collaboration inédite avec META afin de mieux identifier et supprimer ces contenus nocifs. Un pas déterminant dans la lutte contre une menace numérique qui fragilise la sécurité des joueurs et mine la légitimité des opérateurs légaux.

Dans l’univers en constante mutation des jeux d’argent, une nouvelle bataille s’est engagée, et elle ne se joue pas dans les casinos, mais dans l’arène numérique. Depuis plusieurs mois, le Groupe Partouche – acteur historique du secteur du divertissement en France – est la cible d’une campagne massive d’usurpation de son identité sur les réseaux sociaux. Des escrocs se font passer pour l’entreprise, ses dirigeants, ou ses salariés, dans le but de rediriger les internautes vers des plateformes de jeux illégaux opérant en toute clandestinité. Ce phénomène, aussi inquiétant que sophistiqué, prend une ampleur inédite et menace à la fois les consommateurs et l’équilibre du marché des jeux en ligne.

À travers des publications sponsorisées, des comptes usurpateurs ou des vidéos truquées, les fraudeurs exploitent l’image de Partouche pour instaurer une illusion de confiance. Le blog ZATAZ avait d’ailleurs lancé plusieurs alertes auprès des « influenceurs » et autres bloggeurs sur des approches « d’agence de communication » venue proposer, contre de l’argent, des articles. [Lire ICI et LA]. Ces articles cachés des liens vers des casinos illicites, voir clairement malveillants.

Derrière cette façade mensongère, ce sont des sites hébergés à l’étranger, échappant à toute régulation française, qui proposent des jeux d’argent sans contrôle, sans encadrement, et sans aucune garantie de sécurité. L’objectif est clair : piéger les internautes avec des promesses de gains rapides et les faire entrer dans un cercle vicieux d’addiction, sans que ceux-ci n’aient les moyens de s’en protéger.

« L’usurpation d’identité en ligne n’est pas seulement une fraude, c’est une attaque contre la confiance du public », déclare un représentant du groupe.

L’Autorité Nationale des Jeux (ANJ), qui supervise le secteur en France, a elle-même tiré la sonnette d’alarme. Dans ses derniers rapports, elle met en garde contre une croissance inquiétante des offres illégales accessibles aux joueurs français, notamment via les réseaux sociaux et certaines plateformes vidéo. Ces offres se développent dans l’ombre du cadre légal, profitant du flou juridique et de la difficulté à contrôler le flux d’informations sur Internet. Le danger est double : non seulement les joueurs ne bénéficient d’aucune protection, mais ils deviennent également vulnérables à d’autres dérives, telles que les arnaques bancaires ou l’exploitation de leurs données personnelles.

Conscient de ces enjeux, le Groupe Partouche a décidé de passer à l’action. Une collaboration stratégique vient d’être lancée avec META, maison mère de Facebook et Instagram. Ce partenariat vise à faciliter le signalement et la suppression rapide des contenus frauduleux. En s’associant directement avec l’une des plus grandes entreprises technologiques du monde, Partouche espère obtenir des résultats concrets et freiner la prolifération de ces arnaques numériques.

Cette alliance s’inscrit dans une démarche plus large : celle d’un engagement en faveur d’un jeu responsable et sécurisé. Car contrairement à ces plateformes pirates, les établissements de jeux autorisés en France sont soumis à des obligations strictes. Ils doivent garantir l’équité des jeux, encadrer la publicité, protéger les joueurs vulnérables et prévenir le jeu excessif. C’est précisément cette rigueur que contournent les opérateurs illégaux, mettant en péril des années de régulation patiemment construites.

Les plateformes illégales de jeux en ligne échappent à toute régulation, exposant les joueurs à des risques accrus de fraude, d’addiction et de perte de données personnelles.

Mais au-delà des conséquences pour les joueurs, cette guerre numérique soulève une autre question : celle de la souveraineté réglementaire face à des acteurs opérant hors des frontières. La France, comme d’autres pays européens, se heurte à la difficulté de faire appliquer son droit sur Internet, espace sans frontières par excellence. Même avec le soutien de grandes entreprises comme META, les mesures de blocage ou de suppression restent souvent lentes et partielles. Il faut alors repenser les outils de régulation à l’échelle européenne, voire internationale.

Dans ce contexte, le rôle des acteurs comme Partouche devient central. Non seulement ils participent à alerter les autorités, mais ils prennent aussi une part active dans la lutte contre la désinformation, les faux profils, et la promotion de contenus illégaux. L’engagement du groupe est clair : défendre les valeurs d’un divertissement encadré, où chaque joueur peut s’amuser en toute confiance. Et cela passe aussi par une vigilance accrue sur la réputation numérique des marques.

La démarche de Partouche s’inscrit également dans une volonté pédagogique. Le groupe rappelle régulièrement aux internautes qu’aucune offre de jeux d’argent en ligne ne peut être proposée légalement en France sans l’agrément de l’ANJ. Il invite les joueurs à vérifier systématiquement la légalité des plateformes qu’ils utilisent, à se méfier des offres trop alléchantes, et à ne jamais communiquer leurs données bancaires ou personnelles à des sites douteux.

Partouche s’allie à META pour identifier et faire supprimer plus rapidement les contenus frauduleux sur Facebook et Instagram.

Le combat est donc aussi culturel. Il s’agit de sensibiliser le public aux dangers réels des jeux illégaux, bien souvent minimisés par la légèreté des mises en scène en ligne. En jouant sur l’image de marques reconnues, les escrocs cherchent à désarmer la méfiance des internautes, surtout les plus jeunes ou les moins informés. Or, les conséquences peuvent être dramatiques : pertes financières, endettement, isolement, ou encore exposition à des réseaux criminels.

À l’heure où la digitalisation transforme en profondeur tous les secteurs économiques, le monde du jeu n’échappe pas à la règle. Il est donc plus que jamais nécessaire d’instaurer un dialogue constant entre les opérateurs, les régulateurs, et les plateformes technologiques. L’exemple de Partouche montre qu’une action coordonnée est possible. Mais elle doit s’accompagner d’un renforcement des moyens de contrôle, d’un partage plus efficace des données entre institutions, et d’une volonté politique affirmée de protéger le public.

Le Groupe Partouche, en lançant cette offensive contre les arnaques numériques, ne défend pas seulement son image. Il défend aussi un modèle de divertissement encadré, où le plaisir du jeu ne rime pas avec insécurité. Dans cette bataille de longue haleine, chaque acteur a un rôle à jouer. Reste à savoir si l’ensemble de l’écosystème numérique acceptera de faire front commun pour enrayer la vague des jeux illégaux en ligne.