Détecteur de mensonge pour média sociaux

Des chercheurs Autrichiens de l’université de MODUL (Vienne) annoncent, en collaboration avec d’autres étudiants la création d’un algorithme capable d’analyser la fiabilité des messages diffusés sur Twitter, Facebook et autres médias sociaux. Un chasseur de messages viraux, baptisé Pheme. Sa mission, retrouver la trace d’un message et d’en fiabiliser le contenu.

L’agence Belga donne un exemple que pourra contrer l’outil. Il y a quelques années, il se disait sur internet que Barack Obama n’était pas né aux États-Unis et ne pouvait donc être le président américain. Ce… déballage s’est propagé de manière virale en un minimum de temps, mais il s’avéra par la suite que cette « information », était une erreur.

Plusieurs pays collaborent à ce projet, dont des scientifiques britanniques, allemands, suisses, bulgares, espagnols et kényans. Un projet financé par l’Union européenne. Cette « recherche » va durer 3 ans. Elle s’est donnée comme mission de déloger les contres vérités diffusées sur la toile en additionnant nouvelles technologies et des spécialistes du langage. A suivre !

 

 

3 réflexions sur « Détecteur de mensonge pour média sociaux »

  1. Barf non, je trouve ça peut « intégrer » un hoaxbuster, je trouve ça bien… surtout quand on voit les conneries qui circulent sur les réseaux sociaux.

  2. Ce projet chasseur de messages viraux, entend dénicher le mensonge ou l’erreur ? L’algorithme est construit sur une analyse de cohérence ou sur une fiabilité du renseignement ?

  3. Super, ça ressemble de plus en plus à la Police des Pensées dans 1984. A quand les puces RFID sous la peau ?

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