Archives de catégorie : Entreprise

Actualités liées à la sécurité informatique des entreprises, PME, PMI, TPE, association, communes.

Neuf internautes sur dix prêts à partager leurs données persos pour accéder à du gratuit

D’après une nouvelle enquête, près de neuf internautes français sur dix (87 %) sont prêts à partager leurs données personnelles pour accéder gratuitement à des services en ligne. 35 % seulement des internautes français ont le sentiment d’avoir le contrôle sur leurs données contre 52 % à l’échelle européenne. 36 % des Français font confiance à leur gouvernement pour le traitement des données confidentielles. Plus de 8 Français sur 10 (85 %) craignent que leurs données ne tombent entre de mauvaises mains lors des deux prochaines années (84 % à l’échelle de l’Europe)

D’après une nouvelle étude commanditée par Kaspersky, près de neuf internautes français sur dix (87 %) sont disposés à partager leurs données personnelles avec des sites et des applications pour accéder gratuitement à des services numériques. La carte interactive de sensibilité à la confidentialité des données, élaborée par Kaspersky, met en exergue la façon dont les consommateurs de neuf pays d’Europe abordent la question de la confidentialité. Malgré quelques réserves, cette carte indique que les Français sont globalement disposés à permettre que leur comportement en ligne soit suivi s’ils peuvent bénéficier en échange de promotions (39 %), d’une meilleure fluidité de l’expérience (43 %) et de cadeaux (36 %). Un comportement relativement en ligne avec les attitudes européennes, bien qu’un peu plus méfiant.

 93 % des Français indiquent que la confidentialité des données est importante pour eux, mais seulement un peu plus d’un tiers (35 %) ont le sentiment de contrôler le nombre d’entités ayant accès à leurs données personnelles.

Peu de confiance envers les entreprises & gouvernements…

C’est une source de préoccupation puisque plus de huit répondants français sur dix (85 %) craignent que leurs données ne tombent entre de mauvaises mains lors des deux prochaines années, tandis que 71 % d’entre eux ont peur que leurs données ne soient dérobées et utilisées à des fins malveillantes (66 % en Europe). Des inquiétudes qui ne se traduisent pas nécessairement dans leurs comportements.

Les internautes témoignent également d’une confiance mitigée envers les entités avec lesquelles ils partagent leurs données. Globalement, Amazon et Google jouissent d’une plutôt bonne réputation en Europe avec 47 % des internautes qui leur font confiance pour traiter les données de manière sure. Les Français sont un peu plus sceptiques, seuls 40 % étant de cet avis. Cela positionne ces entreprises devant les gouvernements respectifs des Européens avec un indice de confiance à 47 % et qui tombe à seulement 36 % en France. Parmi les grandes entreprises de la tech, Facebook est l’organisation qui suscite le plus de méfiance pour ce qui est du respect de la confidentialité : 29 % des Européens et 24 % des Français font confiance à l’entreprise pour le respect de la confidentialité des données.

Mais une tendance à partager ses données quand même, quitte à en perdre le contrôle !

Malgré cela, la perspective de bénéficier de services en ligne utiles fait que de nombreux internautes sont moins disposés à prendre des précautions pour protéger leurs données ou contrôler la manière dont leurs informations personnelles sont utilisées. De fait, six Français sur dix (60 %) acceptent tous les cookies lorsqu’ils naviguent rapidement sur un site. Plus inquiétant, trois internautes Français sur dix (30 %) utilisent le même mot de passe sur de nombreux sites ou applications. Ce chiffre monte même à 35 % au Danemark.

Des disparités de comportement à travers l’Europe

Le Danemark est également le pays où les internautes craignent le moins que leur données ne finissent entre de mauvaises mains (seulement 77 %, contre 94 % au Portugal). À l’inverse, la France est le pays où les internautes ont le moins le sentiment de contrôler leurs données personnelles (35 %). C’est aussi en France que les internautes ont le moins confiance dans le traitement de leurs données personnelles – seulement 36 % des Français font confiance à leur gouvernement pour traiter leurs données de manière sécurisée.

« Jamais nous n’avons eu autant de données personnelles hébergées en ligne. Parallèlement à cette plus grande présence en ligne des données, il y a un risque accru qu’elles ne tombent entre de mauvaises mains », commente David Emm, Principal Security Researcher, Kaspersky.

« La carte interactive de sensibilité à la confidentialité des données démontre que les internautes européens n’ont pas le sentiment d’avoir la main sur les entités ayant accès à leurs données. Malgré ces inquiétudes, beaucoup acceptent cet aspect « intrusif » pour accéder à des services numériques pratiques. Il n’est jamais trop tard pour tenter de reprendre le contrôle de notre identité numérique et protéger nos données en ligne. Pour ce faire, les internautes doivent surveiller les informations qu’ils partagent, bien examiner les politiques en matière de cookies ainsi que les autres paramètres de confidentialité, et veiller à utiliser des mots de passe robustes et uniques pour chaque site ou application. »

Focus sur la cybersécurité, secteur de l’IT en pleine croissance

La Bretagne, ça vous gagne ! Vous cherchez un emploi tech dans cette magnifique région, particulièrement dans une ville pleine d’atouts comme Lannion ? Laou facilite vos démarches pour trouver le job de vos rêves et s’associe avec la Technopole Anticipa pour apporter un accompagnement sur mesure à vos projets. Travailler dans l’IT ou la cybersécurité n’a jamais été aussi simple !

Accélérateur d’innovation, la Technopole Anticipa est une plateforme incontournable pour développer vos projets à caractère innovants et industriels. Elle concentre ses actions sur des filières d’excellence et anime une communauté de porteurs de projets, de startupers, d’entrepreneurs, d’industriels, de chercheurs, d’enseignants, d’étudiants et d’institutionnels. Mais c’est aussi le relai idéal pour trouver un emploi dans la tech sur le territoire de Lannion Trégor Communauté, en Bretagne !

Dans ce cadre, une collaboration a été mise en place entre Anticipa et Laou pour vous faire découvrir des opportunités professionnelles : plus de 250 jobs sont disponibles ! Vous trouverez forcément votre bonheur dans le secteur du numérique selon votre spécialité : IoT, logiciels, cybersécurité, IA, etc.

Focus sur la cybersécurité, secteur de l’IT en pleine croissance

La cybersécurité est une pratique qui consiste à protéger les systèmes, les réseaux et les programmes contre les attaques numériques. Celles-ci visent habituellement à atteindre des informations sensibles, à les modifier ou à les détruire. Extorquer de l’argent aux utilisateurs ou interrompre les processus fonctionnels d’une entreprise sont aussi monnaie courante. La mise en œuvre de mesures efficaces de cybersécurité est de plus en plus difficile aujourd’hui, car le nombre d’équipements surpasse le nombre de personnes. Les hackers sont aussi – malheureusement – de plus en plus coriaces.

C’est pourquoi, les entreprises cherchent constamment à renforcer leurs équipes pour pallier aux besoins. Travailler dans la cybersécurité en France vous permettra de saisir bon nombre d’opportunités professionnelles :  développeur/intégrateur/administrateur sécurité, architecte cybersécurité, analyste menace, spécialiste en gestion de crise cyber, etc. A ce titre, la Bretagne est une région authentique qui propose des possibilités d’emploi variées notamment dans les technologies de l’information. Elle représente un haut lieu de ce domaine, un leader incontesté en France.

Lannion, une ville bretonne où il fait bon vivre et travailler

Région historique mêlant tradition et authenticité, la Bretagne possède un patrimoine culturel et gastronomique de renom. On y dénombre en effet une multitude d’événements festifs (Les Vieilles Charrues, La Route du Rock, Fest-Noz, etc.) et des spécialités culinaires qui donne l’eau à la bouche (kouign-amann, galettes bretonnes, poissons et fruits de mer, etc.). Son environnement (climat doux et océanique, littoral sauvage, côtes rocheuses, etc.) est une ode au bien-être.

Parmi les villes à taille humaine de la région particulièrement conviviales, Lannion tire son épingle du jeu. Située dans les Côtes-d’Armor aux portes de la côte de Granit Rose, la ville bénéficie d’un cadre de vie séduisant en plus d’un réel dynamisme. Les fêtes maritimes, la vie commerçante, les bars, brasseries ou restaurants ainsi que les choses à faire à Lannion (en famille ou entre amis !) sont multiples. La communauté Lannion Trégor représente aussi un bassin d’emploi de plus de 100 000 habitants. Là-bas, des opportunités de carrière diversifiées et stimulantes vous attendent, que vous soyez natifs de la région ou que vous décidiez de vous offrir une nouvelle vie.

Faites confiance à Laou pour votre futur projet professionnel et personnel

Vous êtes tentés par l’aventure tech proposée par la Technopole Anticipa et Laou en Bretagne ? Alors ne manquez pas le coche ! Surtout que chez Laou, on vous chouchoute : outre la recherche d’emploi et l’aide à la mobilité professionnelle, on vous fait aussi découvrir la région, ses plus belles villes (coucou Lannion !) et les activités sympas à faire sur place. Mais ce n’est pas tout : Laou vous aide également à trouver un logement ainsi qu’un déménageur au meilleur tarif, pour vous et votre conjoint ! Vous expliquez ce que vous recherchez, et Laou s’occupe du reste. C’est aussi simple que ça, rdv sur laou.fr !

La CNIL appelle à des évolutions dans l’utilisation des outils collaboratifs étatsuniens pour l’enseignement supérieur et la recherche

La CNIL appelle à des évolutions dans l’utilisation des outils collaboratifs étatsuniens pour l’enseignement supérieur et la recherche

À la suite de l’arrêt Schrems II, la CNIL a été saisie par la Conférence des présidents d’université et la Conférence des grandes écoles sur l’utilisation des « suites collaboratives pour l’éducation » proposées par des sociétés américaines, plus particulièrement s’agissant de la question des transferts internationaux de données personnelles. Compte tenu du risque d’accès illégal aux données, la CNIL appelle à des évolutions dans l’emploi de ces outils et accompagnera les organismes concernés pour identifier les alternatives possibles.

La Conférence des grandes écoles (CGE) et la Conférence des présidents d’université (CPU) ont interrogé la CNIL sur la conformité au RGPD de l’utilisation, dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’outils collaboratifs proposés par certaines sociétés dont les sièges sont situés aux États-Unis. Cette demande de conseil s’inscrit notamment dans le prolongement de l’invalidation du Privacy Shield par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).

Transformation numérique dans l’enseignement et de la recherche

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de l’accélération de la transformation numérique dans l’enseignement et de la recherche, mais aussi plus largement dans toutes les organisations publiques comme privées, impliquant des services qui s’appuient, pour beaucoup, sur des technologies d’informatique en nuage (cloud computing). La CNIL a constaté que le recours à ces solutions met en lumière des problématiques de plus en plus prégnantes relatives au contrôle des flux de données au niveau international, à l’accès aux données par les autorités de pays tiers, mais aussi à l’autonomie et la souveraineté numérique de l’Union européenne. En outre, le gouvernement a annoncé, le 17 mai 2021, une stratégie nationale pour le cloud, afin d’appréhender les enjeux majeurs de cette technologie pour la France, avec l’objectif de mieux protéger les données traitées dans ces services tout en affirmant notre souveraineté.

LES CONSÉQUENCES DE L’INVALIDATION DU PRIVACY SHIELD

Le 16 juillet 2020, la CJUE a jugé que la surveillance exercée par les services de renseignements américains sur les données personnelles des citoyens européens était excessive, insuffisamment encadrée et sans réelle possibilité de recours. Elle en a déduit que les transferts de données personnelles depuis l’Union européenne vers les États-Unis sont contraires au RGPD et à la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, sauf si des mesures supplémentaires sont mises en place ou si les transferts sont justifiés au regard de l’article 49 du RGPD (qui prévoit des dérogations dans des situations particulières).

Si la CNIL et ses homologues continuent d’analyser toutes les conséquences de cette décision, les organismes publics et privés, français et européens, doivent d’ores et déjà respecter ces nouvelles règles en privilégiant des solutions respectueuses du RGPD, notamment quand ils ont recours a des solutions d’informatique en nuage (cloud computing).

En particulier, cet arrêt a notamment eu des conséquences, en France, dans la mise en œuvre de la Plateforme des données de santé (Health Data Hub), qui est actuellement hébergée au sein d’une infrastructure étatsunienne (Microsoft Azure). En effet, le Conseil d’État a reconnu un risque de transfert des données de santé vers les États-Unis, du fait de la soumission de Microsoft au droit étatsunien, et a demandé des garanties supplémentaires en conséquence. Partageant cette inquiétude, la CNIL a réclamé et obtenu de nouvelles garanties du ministère en charge de la santé quant à un changement de solution technique dans un délai déterminé. Cette Plateforme sera ainsi hébergée dans des infrastructures européennes dans un délai de 12 à 18 mois et, en tout état de cause, ne dépassant pas deux ans après novembre 2020.

Les documents transmis par la CPU et la CGE font apparaître, dans certains cas, des transferts de données personnelles vers les États-Unis dans le cadre de l’utilisation des « suites collaboratives pour l’éducation ». Dans les établissements qui emploient ces outils, les données traitées concernent potentiellement un nombre important d’utilisateurs (étudiants, chercheurs, enseignants, personnel administratif), et ces outils peuvent conduire au traitement d’une quantité considérable de données dont certaines sont sensibles (par exemple des données de santé dans certains cas) ou ont des caractéristiques particulières (données de la recherche ou relatives à des mineurs).

Approfondir le sujet avec les mesures proposées par l’Europe.

Ouverture de l’Ecole 42 Lausanne, le 6 juillet prochain

Ecole 42 Lausanne, un nouveau campus qui accueillera 200 étudiants et étudiantes qui se formeront au développement informatique avec une pédagogie innovante construite sur le Peer-to-Peer Learning et la gamification. Un mois seulement après l’ouverture de la phase d’admission, plus de mille candidats ont déjà tenté leur chance !

Le modèle est innovant tant sur la formation en elle-même que sur le processus de recrutement, 100% mixte. Un enjeu social soutenu depuis plusieurs années par Elodie Djuric, membre de l’équipe fondatrice de 42 Lausanne, alumni de 42 Paris. L’école ouvrira ses portes en juillet 2021 à Lausanne, en Suisse. Préparez donc vos valises et commencez dès maintenant à préparer votre déménagement à Lausanne pour prendre part à la prochaine fournée de futurs développeurs chevronnés.

Huit ans après sa création en France, à l’initiative de Xavier Niel, l’École 42 ouvrira ses portes en Suisse romande le 6 juillet prochain. Dès la rentrée de septembre 2021, le campus 42 Lausanne accueillera 200 étudiants et étudiantes qui se formeront au développement informatique avec une pédagogie innovante construite sur le Peer-to-Peer Learning et la gamification. Un mois seulement après l’ouverture de la phase d’admission, plus de mille candidats ont déjà tenté leur chance.

La parité numérique sera également au cœur du recrutement des nouvelles promotions. Il s’agit là d’un enjeu social soutenu depuis plusieurs années par Elodie Djuric, membre de l’équipe fondatrice de 42 Lausanne, alumni de 42 Paris et fondatrice de Jobset.io, la plateforme de recrutement dédiée aux développeurs.

Welcome, Women !

Les femmes ne se sentent pas toujours les bienvenues au sein du secteur informatique. L’objectif de l’École 42 Lausanne est de permettre une meilleure inclusion des femmes dans les métiers du numérique et in fine d’atteindre une certaine parité. Cette vision s’avère d’autant plus vitale que les métiers de la tech peinent aujourd’hui à recruter.

La mixité dans les équipes est également source d’épanouissement et de performance car elle pousse à réfléchir différemment. Ce constat a ainsi incité de nombreuses institutions à mener des actions à titre individuel afin de briser les plafonds de verre.

La démarche a également été relayée par Elodie Djuric qui propose, par le biais de sa start-up Jobset.io, des bourses d’études allant jusqu’à 50 000€ et une année de mentorat à des femmes en reconversion professionnelle souhaitant intégrer les formations pour devenir ingénieures. En intégrant l’équipe fondatrice de 42 Lausanne, la jeune entrepreneuse espère aujourd’hui bousculer les idées reçues et accroître la proportion de femmes dans le secteur du numérique.

Emails frauduleux : comment se protéger des hackers ?

L’email est l’un des services de communication les plus utilisés au monde. Il cumule des millions d’envois et de réceptions par jour. Sa simplicité et sa rapidité dans la communication sont les raisons de son usage tant par les entreprises que par les particuliers.

Cependant, il présente l’inconvénient d’être facilement sujet à des piratages. Comment se préserver des assauts des hackers ? Trouvez ici des informations pour renforcer la sécurité de votre messagerie électronique.

Les emails, sources d’insécurité informatique 

L’utilisation des emails comme moyen de communication facilite grandement le partage d’informations. Cependant, les utilisateurs sont soumis à des menaces de spams et de virus de plus en plus fréquentes.

En effet, les hackers peuvent installer des logiciels espions sur vos postes, lire les contenus de vos messages ou même usurper votre identité ou celui d’un destinataire. Avec le phishing, un pirate informatique pourrait vous dérober vos identifiants ou données bancaires.

Par les scams ou cyberarnaques par emails, les pirates peuvent récupérer d’importantes sommes d’argent chez vous. Il est donc évident que les menaces sont grandes et qu’une mauvaise configuration de la sécurité de vos serveurs mails pourrait causer de graves pertes pour vous ou votre entreprise.

Vous devez donc penser à la mise en place d’un dispositif de sécurité anti-spam pour vous défendre contre les attaques permanentes des hackers. Grâce aux solutions de protection, vous pourrez profiter des avantages de la messagerie électronique sans vous inquiéter des spams, virus, publicités ou autres malwares.

Une solution efficace pour la protection de votre messagerie électronique

Si les services de messagerie de particuliers disposent de service antispam, il n’en est pas souvent le cas avec les entreprises qui doivent prendre en charge elles-mêmes leur serveur de messagerie. Pour une protection maximale, celui-ci a besoin d’un filtrage efficace.

L’actualité sur la sécurité informatique renseigne que le recours à des dispositifs Saas est la meilleure alternative. Ainsi, vous pourrez protéger vos données de toute tentative de piratage. Les logiciels Saas ne sont pas installés physiquement sur des serveurs, mais externalisés.

En effet, le service se positionne entre l’expéditeur et le serveur de messagerie de l’entreprise et intercepte tous vos mails afin de leur faire subir toutes les vérifications possibles. Les solutions de protection de la messagerie électronique en mode SaaS allient performance, simplicité de mise en place et facilité d’utilisation.

Parmi les leaders du marché figure Altospam qui propose des prestations de qualité dans la sécurité de vos messages électroniques. Il s’agit d’un logiciel de protection anti-spam, anti-virus et anti-ransomware externalisé pour vos entreprises.

Doté d’une intelligence artificielle, il permet un puissant filtrage des spams et une haute protection de vos données. Ainsi, les logiciels malveillants, les ransomwares ou autres sont bloqués à la source et ne parviennent pas à votre messagerie électronique. Par ailleurs, il vous propose des options de filtrage publicitaires gratuites.

Aussi, Altospam fonctionne avec n’importe quel serveur de messagerie et sa configuration se fait aisément. En seulement trois minutes, vous protégez l’ensemble des adresses emails de votre entreprise.

Enfin, il vous est possible de suivre votre trafic email par le biais des statistiques en temps réel ainsi que le classement des adresses emails les plus spammées.

Un casque de réalité virtuelle, ok, mais lequel ?

Un casque de réalité virtuelle, baptisé aussi sous le nom de casque VR, connait un succès grandissant. L’équipement permet de vivre des aventures, des expériences visuelles numériques uniques. La réalité virtuelle, on ne peut se le cacher est passionnantes. Il existe une pléthore de casque. Choisir devient un véritable problème. D’autant que le prix n’est pas des plus léger. Autant ne pas se tromper !

Casque autonome qui pourra se connecter à votre smartphone ? Matériel qui se branche directement sur votre console de jeux, votre pc ? Le choix est pas des plus simple, d’autant que le prix peut rapidement atteindre des sommets. Deux grandes catégories de casques peuvent être pointés de la souris : le casque de Réalité Virtuelle pour PC, ou encore le casque VR dit « autonome ».

Les casques autonomes sont apparus dernièrement. Le matériel autonome fait partie de la dernière génération. Les « lunettes » sont indépendantes d’un système informatique (console, smartphone, pc …). Du matos de professionnel. La maintenance industrielle, le monde médical commence à s’en servir. Parmi les appareils de cette génération, vous pouvez Acheter vuzix m400. Autonome, équipée d’une caméra (voir dans certains appareils, de plusieurs caméras), avec un contrôle vocal qui permet la gestion « mains libres » dés plus efficace. Pour avoir une analyse complète de ce petit bijou, découvrez le Vuzix M400 Review.

Quelques pistes de choix

Le review va vous donner quelques pistes, dont les critères techniques qui sont indispensables pour choisir votre casque. Les premieres générations n’ont vécu que quelques mois sur le nez des utilisateurs. Les nouvelles générations ont pour mission d’y rester quelques années. Parmi les critères techniques indispensables : l’écran et sa résolution. Un élément capital pour le confort visuel, la précision et l’immersion. La caméra, si ce n’est pas du full HD, il faut oublier ! Un minimum de 30 images par seconde est indispensable. Dans ce confort d’utilisation, le suivi de rotation de la tête, le poids et le confort de « port » du casque virtuel en feront une aide essentielle.

N’hésitez pas à nous donner votre avis sur ce genre de casque en condition de travail. Nous vous préparons une vidéo sur l’utilisation de notre casque dans un contexte de sécurité informatique. Une immersion pouvant être très intéressante lors d’une action qui se veut immersive et discrète.

Journée mondiale du mot de passe : célébrons le moyen d’authentification le moins fiable du marché !

Ce jeudi 6 mai est la Journée mondiale du mot de passe, l’occasion depuis plusieurs années de rappeler les bonnes pratiques en matière de cybersécurité et de fiabilité des mots de passe, mais aussi plus largement de questionner leur pertinence globale, à l’heure où la fraude en ligne n’a jamais été aussi répandue.

 La société Nuance Communications est un acteur important dans les solutions de sécurité utilisant la biométrie.

 La Journée mondiale du mot de passe donne l’opportunité aux experts de la cybersécurité et de la lutte contre la fraude de réaffirmer que les codes PIN et mots de passe sont des outils archaïques, dépassés, qui ne correspondent plus à la réalité des usages et des besoins d’aujourd’hui. Les mots de passe se retrouvent vendus sur le dark web, exploités à des fins frauduleuses, et se retournent parfois contre leurs propriétaires, comme on a pu le constater récemment avec des pertes de millions d’euros en cryptomonnaies à cause d’oublis de mots de passe non réinitialisables.

Une récente étude[1] menée par Nuance révèle que 17% des Français utilisent deux ou trois mots de passe différents pour protéger tous leurs comptes utilisateurs, et 12% déclarent même utiliser le même mot de passe partout sans considération de son niveau de fiabilité ou de singularité ! De plus, 30% des répondants ont indiqué oublier leur mot de passe ou code PIN au moins une fois par mois, ce qui montre à quel point ce moyen d’authentification est volatile, peu intuitif et contraignant pour les utilisateurs. Ces derniers se retrouvent exposés à un risque élevé de fraude, et il est de la responsabilité des entreprises de s’attaquer à cette menace en renforçant la sécurité de leurs clients par le biais de solutions modernes. Le site ZATAZ révèle des centaines de fuites de données qui laissent perplexe concernant les utilisateurs et leurs mots de passe.

 « Cette même étude a par ailleurs montré que 18% des Français avaient été victimes de fraude au cours des 12 derniers mois, y perdant en moyenne 995 euros. Il est donc grand temps de tourner la page des mots de passe et codes PIN pour déployer des technologies plus sophistiquées et robustes telles que la biométrie et enfin offrir aux consommateurs le niveau de protection qu’ils méritent. La biométrie permet d’authentifier les individus instantanément en se basant sur les caractéristiques qui leurs sont propres et les rendent uniques. Fini le temps des authentifications basées sur un savoir (mot de passe ou autre information à retenir) trop facile à exploiter, les solutions biométriques sont actuellement le meilleur allié de la lutte contre la fraude et permettent de redonner de la sérénité aux consommateurs. » explique Simon Marchand, Chief Fraud Prevention Officer au sein de la division Sécurité et Biométrie de Nuance.

[1] Etude réalisée par OnePoll pour Nuance en avril 2021 auprès de 10 000 répondants dans les pays suivants : France, Royaume-Uni, Etats-Unis, Allemagne, Espagne, Australie, Italie, Suède, Belgique, Pays-Bas et Mexique. En France, le panel de l’étude est constitué de 1000 répondants.

Pas de transformation digitale réussie sans IAM

L’usage croissant du numérique dans le mode de fonctionnement des entreprises les amène à faire évoluer leurs processus de gestion en continu. Dans ce contexte, les notions de collaboratif, de cloud, de No Code occupent désormais une place centrale. La main est donnée aux collaborateurs qui développent à marche forcée applications et process automatisés. Si l’on peut s’en réjouir, il convient d’être toutefois vigilant car le pendant de cette évolution inéluctable est la perte de maitrise de qui en final a accès à quelle application (Saas / Low code / automation… etc) et ou donnée.

Les cybers criminels en profitent et aujourd’hui plus qu’hier, les entreprises sont exposés à un risque de cyber attaque et de compliance très élevé. Le télétravail dont on imagine qu’il va demeurer accroit ce risque. Ce sujet devient prégnant pour les DSI et les solution d’IAM doivent évoluer pour circonscrire le sujet au risque d’avoir à mettre un frein sur la transformation digitale en cours. Il s’agit du principal défi des DSI pour les 3 prochaines années

L’âge d’or des technologies IAM

Concrètement, les solutions d’IAM connaissent aujourd’hui une très forte croissance à l’échelle mondiale. Mais qu’est-ce que l’IAM ? Gartner définit cette approche comme « la discipline qui permet aux bonnes personnes d’accéder aux bonnes ressources au bon moment pour les bonnes raisons ». L’objectif de l’IAM consiste alors  à résoudre rapidement et dynamiquement le dilemme qui est d’accélérer la transformation digitale tout en sécurisant la gestion et la gouvernance des accès aux applications stratégiques et systèmes de gestion des entreprises. Ce point est particulièrement sensible pour les grandes organisations déployées à l’échelle mondiale qui connaissent des mouvements importants de collaborateurs (entrée et sorties). Si le sujet de la protection des identités est maitrisé, celui de la gouvernance des accès, c’est-à-dire l’identification des rôles et des responsabilités de chacun ne l’est pas.

Mettre en place son projet IAM avec succès

Véritable sujet de gouvernance, l’IAM est un projet qui nécessite de prendre de la hauteur et de bien cartographier son organisation pour définir des rôles et des profils types qui permettront ensuite d’automatiser la gestion des identités. Les collaborateurs pourront alors accéder dès leur arrivée dans l’entreprise aux bonnes ressources et applications pour réaliser leurs missions. Il s’agit donc d’un véritable enjeu de productivité, de qualité, mais également de sécurité. N’oublions pas que la mauvaise gestion des accès est l’une des principales failles utilisées pour accéder au système d’information. Le sujet de la compliance précipité par les règlementations de plus en plus contraignantes ajoute aux exigences de ce que doit servir l’IAM et l’on voit aujourd’hui que le point des SoD devient un must have.

Gestion automatisée des rôles (création et modification) et provisionning automatique des utilisateurs et des affectations sont donc les grands bénéfices de l’approche IAM. De fait, il devient alors possible de standardiser les droits d’accès et de permettre également aux directions métiers de participer activement à ces projets. Ce point stratégique est important à prendre en considération dans la mesure où un projet IAM réussi ne peut se limiter à une approche purement technique. Il doit impérativement être mené de concert avec les équipes métiers et la Direction des Systèmes d’information.

L’IAM est donc un formidable accélérateur et un incontournable pour permettre aux organisations de mener à bien leur transformation numérique. Au-delà de simplement améliorer le processus de gestion des accès, cette approche offre également la possibilité de gagner en agilité, d’élever son niveau de cyber protection et de maîtriser ses risques. (Par Olivier BOURROUILH, CEO de ROK Solution)

Pourquoi souscrire une assurance professionnelle ?

Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activité doivent se protéger des erreurs et des accidents qu’elles sont susceptibles de causer. L’assurance professionnelle est la meilleure solution de protection pour y parvenir.

Qu’est-ce qu’une assurance professionnelle ?

L’assurance professionnelle est une assurance dédiée aux métiers qui possèdent plus de risques que d’autres. Aucune profession n’est totalement à l’abri d’un aléa. Une entreprise qui se compose d’au moins une personne peut causer un accident ou commettre une erreur. Dans ce cas, elle peut être amenée à payer des indemnités de dédommagement. L’assurance professionnelle vise à prévenir ces risques et à protéger l’entreprise de la faillite.

Il existe aussi une cyber assurance pour les entreprises dont le risque lié à l’activité en ligne est à considérer. Et les risques liés à l’informatique sont de plus en plus pesants pour les entreprises.

Les avantages de l’assurance professionnelle

L’assurance professionnelle est dédiée à tous les professionnels, qu’ils soient indépendants, PME, start-up ou grande entreprise. Les risques sont plus ou moins importants en fonction du secteur d’activité, mais ils sont bel et bien existants. En tant qu’entrepreneur ou chef d’entreprise, l’assurance professionnelle offre une couverture complète des aléas, accidents, erreurs et autres causes de préjudices pour les clients. Une assurance peut prendre en charge les indemnités de dédommagements que l’entreprise doit verser si elle est reconnue responsable d’un préjudice.

À qui se destine l’assurance professionnelle ?

L’ensemble des métiers dont l’exercice implique des risques ont intérêt à souscrire une assurance professionnelle. Cela comprend par exemple les métiers liés à l’informatique, à la technologie, à l’immobilier, au conseil et à la formation, à la santé et au bien-être, au marketing et à la communication ou encore, à la sécurité et au tourisme. Qu’il soit bénin ou conséquent, le risque lié à l’exercice de votre métier doit être couvert pour limiter l’impact d’un quelconque litige.

Piratage : distribution gratuite de CB ! Avez-vous été piraté ?

Des pirates diffusent gratuitement des données bancaires de français. Le blog ZATAZ permet aux propriétaires d’être alertés pour se protéger le plus rapidement possible.

Chaque jour, sa série de fuite de données personnelles. Le blog ZATAZ vient d’alerter les internautes français d’une diffusion de données bancaires par comme les autres. Le lanceur d’alerte a découvert dans un espace pirate fort de plus de 500 membres, le partage de données bancaires de plusieurs dizaines de français et françaises.

Pour savoir si vous êtes dans la liste, ZATAZ.COM et son Service de veille proposent les informations diffusées par les pirates.

Dans le fichier que ZATAZ a pu découvrir, et en plus des 16 chiffres de la CB, de la date de validité et du pictogramme présent à l’arrière de la carte bancaire, les pirates affichent aussi l’identité du propriétaire légitime, son adresse postale, sa date de naissance et son numéro de téléphone. « Difficile pour ZATAZ de contacter les propriétaires. Dans ce cas, pas d’adresses électroniques comme nous avons déjà pu le montrer dans via d’autres découvertes comme cette méthode pirate pour passer outre la double authentification. » explique le blog.

Avec les informations fournies par ZATAZ, les internautes ont de quoi savoir si, oui ou non, ils sont dans les mains des hackers.