Archives de catégorie : Entreprise

Actualités liées à la sécurité informatique des entreprises, PME, PMI, TPE, association, communes.

GO.CAM, un outil pour améliorer votre cybersécurité

Un étonnant outil dédié au contrôle d’accès permet d’améliorer la sécurité en vérifiant l’âge des personnes !

Un site Interdit aux mineurs, comme les marques d’alcool, sont dans l’obligation de réclamer l’âge de leur visiteur afin de valider l’accès aux pages du site. C’est du déclaratif, autant dire qu’il suffit de modifier l’âge dans l’onglet dédié pour accéder aux contenus interdits. L’application Go Cam promet permettre un contrôle beaucoup plus « poussé » grâce à une intelligence artificielle qui doit être capable de définir l’âge du visiteur. Le système est simple. Vous vous placer devant votre webcam et cette dernière va permettre à Go Cam de définir votre âge « approximativement » et vous permettre d’accéder, ou non, au site bloqué par la restriction. « Si l’âge détecté est correcte, le visiteur pourra continuer à naviguer. Si, au contraire, l’âge détecté est trop proche de l’âge légal (18 ans en France, 21 dans certains états US), alors un deuxième moyen de vérification sera demandé. » indique les créateurs.

Ce second moyen sera de prendre une photo d’une pièce d’identité (Carte Nationale d’Identité, passeport ou permis de conduire) avec sa webcam ou l’appareil photo du téléphone.

Go CAM indique que la photo et la date de naissance, et seulement ces deux infos, seront exploitées. Rien n’est transmis, ni conservé ! Les données sont effacées. C’est la société Française GSI Developpement qui travaille sur cet axe cyber. A noter que la société la société X love cam vient d’intégrer cette solution pour garantir la majorité de ses utilisateurs.

Bref, si vous souhaitez tester Go.cam, la Solution Anonyme et Gratuite pour la Verification d’Age, on vous laisse découvrir l’idée.

40 opérateurs de ransomwares décortiqués

En décembre 2020, le blog ZATAZ présentait une enquête de plus d’un an concernant les maîtres chanteurs du web officiant derrière un ransomware. L’analyse et les fichiers viennent d’être mis à jour.

Plus de 40 groupes analysés, les actions des pirates et de leurs victimes décortiquées. L’étude de ZATAZ concernant les opérateurs de ransomware fait froid dans le dos tant le nombre de victimes est important. Cette étude, baptisée « Ransomware 365 » vient d’être mise à jour.

Il est possible de récupérer, pour chaque groupe (Doppel, Sodinokibi, Cl0p, Nifilim, P2K, Netwalker, Avaddon, Egregor, Mountlocker, Darkside, Conti, 777, Everest, Ragnarok, Banbuk …) un dossier reprenant les secteurs, les pays, les entreprises touchées.

Si le mois de janvier semble avoir été « plus calme« , de nouveaux groupes sont apparus alors que d’autres, comme Egregor et Sodinokibi, pourtant très actifs, ont totalement disparu du darkweb (et du web). « Arrêtés, à la retraite ou en cours de changement de méthodes » indique ZATAZ.

25% de cybermenaces en plus pour 48 % des entreprises françaises depuis le début de la pandémie

Depuis 2020, les entreprises ont été contraintes de passer la majorité de leurs collaborateurs en télétravail, les propulsant dans une nouvelle façon de travailler qui doit être à la fois transparente et sécurisée.

Bien avant la pandémie, de nombreuses entreprises avaient déjà fait le choix de stratégies « cloud-first » et « remote-first », mais s’agissant d’un processus long et coûteux, elles se trouvent à des stades différents de leur parcours.

« En revanche, ce que ces derniers mois nous ont enseignés c’est que peu importe leur avancée, il est vital que ces entreprises mettent la cybersécurité au cœur de cette transformation pour pouvoir fonctionner efficacement et assurer la continuité de leurs activités le plus sereinement possible. » explique Fayce Mouhieddine, directeur commercial cybersécurité de Cisco France.

Pour mieux comprendre les défis auxquels les entreprises sont confrontées actuellement et la manière dont elles adaptent leurs approches de la cybersécurité pour mieux se préparer à un mode de travail hybride, Cisco a interrogé plus de 3 000 décideurs informatiques sur 21 pays dont pour l’étude « Future of Secure Remote Work ».

Accélérer la transformation

Les entreprises se préparent aux implications de la nouvelle norme et, chose certaine, l’environnement de travail flexible et hybride que nous avons connu en dehors des confinements va perdurer. Le télétravail a atteint des niveaux sans précédent au début de la COVID-19 en mars, où deux tiers (64 %) des organisations françaises comptaient plus de la moitié de leurs collaborateurs en télétravail, contre seulement 15 % avant la pandémie.

Toutefois, l’étude de Cisco révèle qu’au début de la pandémie, seules 43 % des entreprises françaises étaient bien préparées pour soutenir cette transition rapide vers un environnement de travail à distance. D’ailleurs, 48 % des organisations françaises ont enregistré une augmentation de 25 % ou plus des cybermenaces ou des alertes depuis le début de la pandémie.

Sécuriser un nombre croissant de terminaux

Alors que le nombre d’utilisateurs qui se connectent à distance augmente, les entreprises connaissent une multiplication des défis liés à la cybersécurité. En France, environ une personne interrogée sur deux a déclaré que les périphériques personnels (49 %) et les ordinateurs professionnels (44 %) étaient les éléments les plus difficiles à protéger dans un environnement à distance.

La sécurisation des accès, depuis n’importe quel appareil et à tout moment, a été désignée comme le principal défi en matière de cybersécurité auquel sont confrontés près des deux tiers (52 %) des entreprises françaises. Leurs autres préoccupations concernent la confidentialité des données (40 %) ainsi que la protection contre les malwares (36 %).

Ces défis auront tout de même permis aux entreprises de mieux comprendre l’importance de la cybersécurité. La grande majorité des entreprises françaises (78%) déclarent que la cybersécurité est désormais extrêmement importante ou plus importante qu’avant COVID-19 et 56 % déclarent que cela entraînera une augmentation des investissements dans la cybersécurité.

La cybersécurité doit répondre aux besoins d’effectifs dispersés géographiquement

Les entreprises doivent créer un environnement de travail hybride flexible et sécurisé, et assurer le même niveau de protection pour tous les collaborateurs qui circulent sur le réseau. À l’heure où les responsables IT et métier redéfinissent les priorités en matière de technologies et d’objectifs, la cybersécurité doit devenir un atout qui permettra aux entreprises de réaliser leur plein potentiel.

Le succès d’un environnement de travail hybride et flexible repose sur la préparation, la collaboration et l’autonomisation

Avec le passage au télétravail, les équipes chargées du réseau et de la sécurité doivent fournir un accès transparent et sécurisé aux applications et aux services, partout et à tout moment. En parallèle, les responsables doivent mettre en place des protocoles de mise en application supplémentaires ainsi que des politiques de cybersécurité renforcées. Enfin, il est impératif de former et de sensibiliser les collaborateurs afin de favoriser une culture de la sécurité aujourd’hui indispensable.

Un système de cybersécurité plus simple et plus efficace est essentiel pour renforcer la résilience de l’entreprise

Malgré le nombre de priorités auxquelles ils font face, les responsables informatiques ne peuvent pas reléguer la sécurité en arrière-plan. Pour réduire la probabilité et l’impact d’une cyberattaque, les entreprises doivent également chercher des moyens de simplifier leurs systèmes de défense. Ainsi, la sécurité devient un atout pour l’entreprise, et non un obstacle aux besoins actuels ou futurs.

3 actions pour protéger efficacement sa messagerie électronique des cybercriminels

Qui n’a jamais communiqué par mail ? Ce n’est certainement pas vous qui êtes en train de lire cet article. La messagerie électronique fait partie du quotidien de tous les internautes. D’ailleurs, elle est considérée comme le moyen de communication le plus célèbre au monde. Utilisé soit dans le cadre personnel ou professionnel, ce service Internet peut servir à transférer des données sensibles, notamment les codes d’accès, les coordonnées bancaires, etc. Et quand on parle d’informations personnelles sur la toile, les cybercriminels ou hackers ne sont jamais loin. Il n’est donc pas rare que les internautes soient victimes de diffusion des documents confidentiels, de vol d’identité, de piratage de données ou de fraude bancaire. Heureusement, il existe des solutions de sécurisation de boîte mail qui vous permettront de vous préserver de ces situations désagréables.

Utilisez un antivirus

Un antivirus est un programme qui a été conçu pour vous protéger contre plusieurs types de logiciels malveillants notamment les virus, les vers informatiques et les malwares. Non seulement il permet de supprimer les logiciels malveillants, mais il joue également un rôle préventif en empêchant les virus au système informatique de votre ordinateur ou smartphone. À ce titre, il vous sera grandement utile pour assurer la protection de votre mail. Les cybercriminels ne pourront plus vous piéger via certaines tentatives d’hameçonnage comme le phishing pour récupérer vos informations personnelles. Il analyse les courriels entrants et vous met en garde si certains mails renferment des liens conduisant en réalité vers un site pirate.

Installez un service de protection de message électronique

Nombreuses sont les techniques qui peuvent vous aider à sécuriser votre boîte mail personnelle ou la messagerie électronique de votre entreprise. Certains vous diront de choisir des mots de passe assez complexes constitués de lettres, chiffres et symboles, majuscules et minuscules. D’autres vous conseilleront de modifier régulièrement vos mots de passe pour vous connecter, d’éviter d’ouvrir les messages électroniques d’origine douteuse ou de ne jamais cliquer sur des liens inconnus. Mais avouons-le ! Malgré leur efficacité, ces astuces demandent trop de vigilance et sont un peu difficiles à mettre en application. De plus, à la moindre erreur ou faiblesse, les individus mal intentionnés n’hésiteront pas à vous nuire. De ce fait, la solution la plus facile et la plus fiable va consister à utiliser un logiciel SaaS tel qu’Altospam. Cet outil dont l’efficacité n’est plus à prouver est doté de plusieurs technologies indispensables comme un anti-phishing, un anti-relayage, un anti-scam, un anti-ransomware, un anti-pub… d’autre part il n’intègre pas 1 mais 6 antivirus ! Bref, il s’agit d’un logiciel de protection tout-en-un. En optant pour cette solution, vous serez épargné de toute attaque informatique pouvant provoquer de lourdes conséquences pour votre société et sa santé financière.

Installez un VPN

Une autre action efficace, complémentaire des deux autres, pour sécuriser son message électronique est de procéder à l’installation d’un VPN sur votre réseau informatique. Cela vous permettra de naviguer en toute discrétion sur le net. Cette technologie réalise en effet un chiffrement automatique de vos données de navigation. Votre connexion est acheminée via un tunnel privé et vos actions en ligne sont complètement dissimulées. De ce fait, les pirates informatiques ne peuvent plus vous espionner pour se servir de vos données pour nuire à votre personne ou société.

Six groupes de ransomwares ont disparu du darkweb

Voilà qui est très intéressant. De nombreux groupes opérateurs de ransomwares viennent de disparaitre du darkweb. Leurs différents sites ne répondent plus.

Le FBI ? Interpol ? Un pur hasard ? Une envie de se racheter et d’arrêter le massacre ? Les pirates informatiques, partenaires/membres des groupes Egregor, Doppel, Sodinokibi, Netwalker, AKO, CONTI n’ont plus de site web. Des espaces cachés dans le darkweb, via Tor, ou tout simplement sur la toile, sur le web.

Tout a débuté avec Egregor, début janvier, puis AKo, Sodinokibi.

Ce 9 janvier 2021, CONTI et Sodinokibi ont suivi cette vague silencieuse.

Les prochaines heures/jours nous diront si, enfin, nous sommes débarrassés de ces malveillants du web.

Détail intéressant, le 8 janvier, le FBI diffusait une note sur le groupe Egregor. Un hasard !

A eux six, comme l’a expliqué zataz.com dans en enquête qui a durée 1 an, plus de 840 chantages d’entreprises (plus de 200 pour Egregor).

Des menaces de divulgations de données volées lors d’infiltration et de prise d’otages de l’informatique et fichiers des victimes rançonnées.

Mise à jour : les pirates du groupe Doppel sont revenus. Ils en ont profité pour diffuser les données de leur derniére victime en date, le groupe Belge Brustor.

Géolocalisation de véhicules, l’avenir routier ?

De plus en plus de véhicule sont équipés d’un système de géolocalisation. De la voiture de « monsieur tout le monde » et son GPS, en passant par des supports professionnels offrant la possibilité de suivre et sécuriser sa flotte de livraison en temps réel. Comment fonctionne ces systèmes ? Sont-ils de confiance ?

Depuis le 31 mars 2018, tous les véhicules neufs doivent être équipés d’un système de géolocalisation et d’appel des urgences en cas d’accident. Un système baptisé eCall. L’avantage de ce système de géolocalisation, un contact immédiat avec le centre de secours le plus proche. eCall permet aux pompiers, par exemple, de retrouver l’emplacement exact du véhicule et des passagers en danger.

Le parc automobile datant d’avant mars 2018 n’est pas concerné. L’autre inconvénient, les erreurs de manipulation et les potentiels bugs. Un système qui n’a pas pour vocation de tracer les véhicules, mais de lancer un « SOS » en cas de besoin.

Deux appels sont lancés, le premier, baptisé le Public Safety Answering Point (il est automatique) et le second, via la voix des passagers, dans la mesure où ces derniers sont dans la capacité de parler.

Suivi par GPS

L’autre système de « suivi » que les véhicules peuvent embarquer, le GPS de géolocalisation en temps réel. Ici, ce système intéressera surtout les entreprises. Le projet Web Fleet est l’un de ces systèmes permettant de connecter un véhicule (voiture, camion, fourgonnette …) au régulateur de l’entreprise (bureau, entrepôt …).

Ce produit de géolocalisation prend la forme d’un boitier baptisé LINK. Il est exploitable via un logiciel, baptisé WebFleet, en charge de la gestion des véhicules équipés du GPS.

Via cet outil, il est possible de suivre le chemin parcouru, par exemple, par un camion. Connaître ses points de passage, ses arrêts, le rediriger en cas de bouchons routiers.

Un outil qui devient très vite un allier dans les choix opérationnels de l’entreprise utilisatrice. Webfleet permet aussi de connaitre la vitesse de chaque véhicule et d’être alerté en cas d’accident. L’accéléromètre embarqué permet cette interaction sécuritaire.

Faire face à l’augmentation des attaques par ingénierie sociale visant les télétravailleurs

Avec le reconfinement et le télétravail à nouveau imposé aux entreprises par le gouvernement au minimum jusqu’au 1er décembre prochain, la deuxième vague de la pandémie réunit une nouvelle fois les conditions propices à différents types d’attaques d’ingénierie sociale. En France et au niveau international, de nombreux rapports et avertissements d’organismes publics et d’entreprises privées réputées font état de l’augmentation des attaques liées au coronavirus, allant du phishing au vishing (hameçonnage par téléphone), en passant par le ransomware, alors que le monde entier évolue vers le télétravail et s’adapte aux risques qui y sont associés.

Les attaques deviennent de plus en plus sophistiquées, cependant les cybercriminels capitaliseront toujours sur le facteur humain. L’incertitude, la peur, la distraction, l’isolement et la confusion sont autant de facteurs qui contribuent à accroître la vulnérabilité des utilisateurs. Et tandis que l’actualité évolue rapidement, il est difficile, voire impossible, d’anticiper le prochain rebondissement de la pandémie ou événement majeur que des pirates informatiques opportunistes exploiteront.

Les experts s’attendent à ce que la distanciation sociale se poursuive et que les interactions virtuelles se multiplient bien après la fin de la crise sanitaire. Cela signifie que les entreprises doivent s’appuyer sur une authentification forte pour se prémunir contre l’augmentation des attaques par ingénierie sociale. Par ailleurs, avec un environnement de travail de plus en plus décentralisé et la baisse de confiance dans les systèmes de sécurité, il est essentiel de regagner la confiance des utilisateurs.

Dans ce contexte, bien qu’elle soit essentielle, la sensibilisation des employés à la détection des escroqueries liées au Covid-19 ne constitue pas une réponse pleinement satisfaisante. Quel que soit le degré de sensibilisation des utilisateurs au phishing ou à l’ingénierie sociale, certains cybercriminels parviendront tout de même à leurs fins. Tant que la participation des utilisateurs sera nécessaire et que l’on comptera sur eux pour identifier le phishing et les attaques de type « man-in-the-middle » (qui a pour objectif d’intercepter les communications entre deux parties, sans que ni l’une ni l’autre ne puisse se douter de la compromission du canal de communication), les vulnérabilités continueront à poser problème.

Des solutions modernes d’authentification forte capables de réduire à zéro l’impact d’attaques de type phishing existent, telles les clés de sécurité basées notamment sur l’usage de clés asymétriques, sujettes ni à la fatigue de l’utilisateur ni à son niveau de sensibilisation à la cybersécurité. C’est la raison pour laquelle les organisations ont tout intérêt à revoir leur stratégie d’authentification. Elles ne peuvent en effet plus se permettre de reposer éternellement la sécurité des réseaux via de simples mots de passe, des questions de récupération ou une authentification de base à deux facteurs pour se protéger contre de futures attaques d’ingénierie sociale. Ces méthodes ont prouvé à maintes reprises qu’elles n’étaient pas à la hauteur face aux logiciels malveillants mobiles, au SIM Swapping ou encore aux attaques de phishing. Les cybercriminels sont aujourd’hui de mieux en mieux préparés, et les entreprises doivent suivre la même voie.

De plus, l’expérience de l’utilisateur est essentielle pour garantir la sécurité d’une organisation. Dans un monde où les télétravailleurs se trouvent physiquement éloignés de leurs collègues et de l’équipe IT, et où ils essayent de concilier vie professionnelle et vie privée, l’authentification forte doit fonctionner sur une multitude d’appareils, d’applications métiers critiques et dans différents environnements. En effet, plus l’expérience de l’utilisateur est optimale, plus il est facile de déployer et de sécuriser l’entreprise — contrairement aux solutions ponctuelles complexes qui ne protègent qu’un ensemble d’utilisateurs.

Ainsi, la recrudescence des attaques liées au Covid-19 représente un danger réel et bien présent. Toutefois, il ne s’agit pas seulement de menaces temporaires ou propre à la pandémie. Il est aujourd’hui davantage question de prendre des mesures opérationnelles et matérielles afin de limiter au maximum les vulnérabilités malgré l’intensification des attaques d’ingénierie sociale. (Par Laurent Nezot, Sales Director France chez Yubico)

 

Logiciel de gestion des notes de frais

Les technologies embarquées dans les logiciels de gestion des notes de frais de plus en plus poussées. Exemple avec ManaTime et sa technologie OCR.

Centraliser ses notes de frais est loin d’être chose facile, surtout si on accumule les missions, … L’exploitation d’un logiciel de gestion des notes de frais devient rapidement indispensable. Ils permettent à toute la chaîne de décision et comptable de l’entreprise de valider et rembourser. Très vite, on addition les tickets, les billets, … On scanne les papiers, on envoie par courriel … Bref, permettre la gestion des remboursements de frais en entreprise plus rapidement et plus facilement semble évident. Un solution pour la gestion des notes de frais, un plus pour être efficace.

Certains outils proposent des solutions technologiques qui facilitent cette gestion. La société ManaTime met à disposition dans son outil maison une technologie OCR. Pour vous simplifier l’explication technique, l’OCR prend une photo d’un document et en extrait les contenus textes. Cela vous évitera de tout taper à la main. Gain de temps ! « En scannant ou en prenant une photo de la note de frais notre outil reconnaitra automatiquement les données. » explique l’entreprise française.

3 995 253 notes de frais remboursées pour plus de 1 500 entreprises utilisatrices.

En Français et en Anglais, l’outil est disponible sur l’ensemble des supports numériques d’aujourd’hui : PC, Mac, smartphones et tablettes. L’utilisation est simple. Une fois vos informations fournies, votre direction n’a plus qu’à consulter les notes. Une opération que se fait en un seul clic. Une alerte est communiqué au destinataire afin de lui indiquer si ses notes de frais ont été validées, ou non ! Une version d’essai est mise à disposition permettant de se pencher sur cette solution informatique.

Trois autres propositions peuvent être exploitées : la gratuite, pour une gestion des congés et absences (3 utilisateurs max.) ; Moins de 1 euro 50 par mois pour la version « Starter ». Pour moins de deux euros, toujours par un mois, la version premium. Cette dernière met à disposition l’ensemble des 10 modules de ManaTime : Congés et Absences, présences, heures supplémentaires, notes de frais, paie dématérialisée, évènements et indicateurs RH, paramétrage inclus …

Le support client est inclus en version prémium. de quoi être guidé efficacement par l’un des 14 employés de cette startup.

Les hébergeurs web sont-ils sécurisés ?

Les hébergeurs web sont indispensables au bon fonctionnement des activités sur internet. Sans ces serveurs, les sites en ligne ne peuvent pas être visibles par le grand public. Toutes les données (ou la majorité) essentielles au bon fonctionnement de ces plateformes se retrouvent donc sur les serveurs servant à leur hébergement. Ces derniers représentent donc une cible parfaite pour les pirates qui cherchent à s’introduire dans les systèmes informatiques pour dérober des données personnelles.

Pour éviter de se faire pirater, les hébergeurs utilisent des process de sécurité assez sophistiqués. Cependant, cela ne suffit pas, car des hackers trouvent parfois le moyen de pirater leurs serveurs. Quelles sont les techniques utilisées par les cybercriminels pour parvenir à leurs fins ? Comment les hébergeurs web peuvent-ils récupérer les données volées par les pirates ?

Comment les pirates attaquent-ils les hébergeurs web ?

Pour protéger les sites qu’ils hébergent, les hébergeurs web tels que PlanetHoster mettent en place des protocoles de sécurités très complexes. Ceux-ci ne peuvent donc pas être détruits par les attaques courantes perpétrées par les cybercriminels tels que le phishing, le malware, etc.

En général, les pirates utilisent des méthodes plus avancées telles que les attaques DDos. Un déni de service attribué ou une attaque DDoS (Distributed Denial of Service) est un piratage qui exploite les failles ou les limites de capacité particulières s’appliquant aux ressources d’un serveur d’hébergement.

Cette attaque consiste à envoyer de nombreuses requêtes à la ressource web qui subit l’attaque en vue d’entraver l’aptitude du serveur à gérer les requêtes et à bloquer son fonctionnement. Les cibles principales des attaques DDoS sont les e-commerces, les casinos en ligne ainsi que les sociétés fournissant des prestations internet comme les sites d’hébergement.

Le serveur web d’un hébergeur ne peut gérer de manière simultanée qu’un nombre limité de requêtes. En dehors de ces capacités, le canal qui relie le serveur au réseau possède également une bande passante, qui renseigne sur la limite de sa capacité. En conséquence, lorsque le nombre de demandes dépasse la capacité maximale de la ressource, la réponse aux demandes est beaucoup plus lente que d’habitude ou alors les requêtes des utilisateurs sont complètement ignorées.

L’objectif d’un pirate qui lance une attaque DDos est de bloquer le fonctionnement du serveur de l’hébergeur et exiger de l’agent pour arrêter sa manœuvre. Toutefois, dans certains cas, le déni de service attribué est perpétré pour jeter du discrédit sur l’entreprise d’hébergement qui est attaquée. En effet, si un tel problème de sécurité se pose, la crédibilité de l’hébergeur peut être remise en cause, ce qui n’est pas bon pour l’image de l’entreprise. L’attaque DDos prend donc la forme de nuisance à l’égard des activités d’un concurrent.

Comment est lancée une attaque DDos ?

Pour transmettre un nombre très important de demandes au serveur de l’hébergeur, le hacker crée souvent un « réseau zombie » via des ordinateurs infectés. S’il arrive à prendre le contrôle des ordinateurs de plusieurs employés de la société d’hébergement, grâce au piratage de leurs mots de passe, le cybercriminel peut mener des actions depuis ces appareils et lancer une attaque dont l’envergure aura raison des ressources web de sa cible.

Quelles sont les conséquences de ces cyberattaques pour les sites hébergés ?

Lorsque le serveur d’un hébergeur est attaqué, les premières victimes sont les propriétaires de sites web. Effectivement, la cyberattaque peut ralentir le fonctionnement de leurs plateformes ou les mettre hors ligne.

Une telle situation est catastrophique pour les sites web, notamment pour les boutiques en ligne. Celles-ci peuvent perdre beaucoup de clients à cause des actions menées par les pirates au niveau de l’hébergeur web. De plus, les données personnelles des utilisateurs peuvent être copiées et exploitées par les pirates pour frauder ou réaliser des opérations illégales.

En général, les données volées sont le nom, le prénom, l’adresse, le pays, la ville, le numéro de fax, le numéro de téléphone, l’identifiant et le mot de passe du compte. Problème majeur : beaucoup de personnes sur internet utilisent le même mot de passe pour tous leurs comptes en ligne. De fait, si un cybercriminel parvient à mettre la main sur cette information sensible, il peut pirater les comptes de la victime. Une véritable catastrophe sur le plan financier et moral.

Avec les autres données personnelles dérobées comme le nom, le prénom, l’adresse, la ville, etc., l’utilisateur peut être victime d’une usurpation d’identité. En d’autres termes, le pirate fait usage de l’identité de cette personne pour réaliser des opérations pouvant la mettre dans une position très inconfortable.

Par ailleurs, le piratage du serveur d’un hébergeur web peut détruire le référencement naturel des sites hébergés. Si les plateformes sont mises hors ligne ou fonctionnent mal, il est fort probable qu’elles perdent leurs positions dans les résultats de recherche. Ceci peut causer un réel préjudice aux activités de l’administration du site web, parce qu’un bon référencement naturel est un travail de longue haleine, impliquant du temps, de l’argent et beaucoup d’efforts. Par conséquent, la perte de position sur les moteurs de recherche peut ralentir considérablement l’évolution des activités de la société qui exploite la plateforme en ligne.

Comment l’hébergeur peut-il récupérer les données et les sites de ses clients ?

Afin de récupérer les données volées et réparer le tort causé aux sites des clients, il faudra retrouver l’auteur des faits. Pour ce faire, l’hébergeur web peut déposer une plainte auprès des autorités judiciaires afin qu’une enquête soit réalisée et que le cybercriminel soit arrêté.

Outre cette action, la société d’hébergement doit informer ses clients de la situation et leur demander de changer leurs identifiants et mots de passe pour empêcher le hacker de prendre le contrôle de leurs comptes en ligne. Toutefois, la meilleure arme dont disposent les hébergeurs web pour récupérer les données et les sites de leurs utilisateurs est le renforcement de leurs protocoles de sécurité.

Les prestataires ne doivent laisser aucune faille pouvant être exploitée par les pirates. Ainsi, le système informatique de l’entreprise doit être complètement sécurisé pour limiter les intrusions extérieures.

Les Français, mauvais élèves européens de la protection de leurs données

86 % des Français n’ont aucune idée du nombre d’entreprises qui utilisent, stockent ou accèdent à leurs données personnelles. 38 % des Français n’ont aucune connaissance de la législation destinée à protéger leurs données, contre 24 % des consommateurs allemands, 16 % des Britanniques et 28 % des Espagnols.

Une nouvelle étude* OpenText réalisée auprès de 2000 consommateurs français, met en lumière un manque de connaissance du public quant au traitement de ses données par les entreprises, comparé à ses voisins européens. L’enquête révèle que moins d’un Français sur cinq (17 %) serait prêt à payer plus cher ses achats auprès d’une entreprise qui s’engage à protéger la confidentialité de ses données personnelles. Une proportion bien inférieure à celle de leurs homologues allemands (41 %), britanniques (49 %) ou espagnols (36 %).

Un tiers (33 %) des Français interrogés ne font pas confiance aux entreprises pour préserver la sécurité ou la confidentialité de leurs données personnelles, mais une fois encore, cette proportion est nettement inférieure à celle de leurs voisins : 47 % des Allemands, 45 % des Britanniques, 39 % des Espagnols. De surcroit, près de la moitié (42 %) des Français ne se sont jamais posé la question, contre 34 % des Allemands et des Britanniques, et 33 % des Espagnols.

Maîtriser la protection de la confidentialité des données

La majorité (86 %) des consommateurs français n’ont « aucune idée » du nombre d’entreprises qui utilisent, stockent ou accèdent à leurs données personnelles, telles que leur adresse e-mail, leur numéro de téléphone ou leurs coordonnées bancaires. Un chiffre qui se démarque toujours de celui de leurs voisins : 73 % des Allemands, 80 % des Britanniques, 79 % des Espagnols, qui semblent plus alertes sur le sujet.

Cette proportion coïncide avec le fait que plus d’un tiers (38 %) des Français affirment n’avoir aucune connaissance de la législation destinée à protéger ces données, contre 24 % des consommateurs allemands, 16 % des Britanniques et 28 % des Espagnols. En outre, 32 % des Français ont une bonne connaissance de ces lois, et 30 % en ont une vague idée.

De fait, seuls 23 % des consommateurs français déclarent qu’ils seraient prêts à entrer, de leur propre initiative, en contact avec une entreprise afin de vérifier l’utilisation faite de leurs données personnelles ou la conformité de leur conservation. Leurs voisins Allemands (25 %), Britanniques (32 %) et Espagnols (38 %) sont plus proactifs en la matière. Moins d’un Français sur dix (9 %) a déjà effectué cette démarche au moins une fois, contre 12 % des Allemands, 13 % des Britanniques et 17 % des Espagnols.

« La crise de la Covid-19 a accéléré le rythme de la transformation numérique, les entreprises étant passées au télétravail et au commerce en ligne », commente Benoit Perriquet, VP Worldwide Global Accounts chez OpenText. « Le numérique est désormais au centre de pratiquement toute interaction commerciale, produisant une plus grande quantité de données que les entreprises doivent gérer et protéger. Bien qu’il existe un plus grand degré de complaisance parmi les Français quant à la nécessité de protéger leurs données personnelles par rapport aux consommateurs d’autres pays, la tendance mondiale liée aux attentes accrues des consommateurs en matière de confidentialité de leurs données est claire. Elle met aujourd’hui les entreprises sous pression pour veiller à ce que leurs solutions destinées à préserver cette confidentialité s’adaptent correctement à cette ère qui privilégie le numérique. »

Qui est responsable de protéger la confidentialité des données ?

Une majorité (60 %) des consommateurs français (contre 73 % des Britanniques) estiment savoir comment protéger la confidentialité et la sécurité de leurs propres données dans les applications, les comptes e-mail et sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse de configurer les paramètres relatifs à la vie privée ou de désactiver la géolocalisation. Cependant un sur dix (11 %) pense que la préservation de la confidentialité et la sécurité de leurs données relève de la responsabilité de l’application ou de l’entreprise en question.

Paradoxalement, les Français sont parmi les plus pessimistes quant à l’avenir de la protection de leurs données. En effet, à peine plus d’un Français sur dix (11 %) juge que nous sommes arrivés au stade où chaque entreprise satisfait à ses obligations légales d’assurer la confidentialité des données de ses clients, soit moins qu’en Espagne (17 %) et en Allemagne (13 %). Du reste, près d’un cinquième (19 %) des Français interrogés considèrent que cela ne sera vrai que dans un avenir lointain, voire jamais, contre 26 % des Allemands, 24 % des Britanniques et 18 % des Espagnols.

« Au-delà des amendes encourues, toute entreprise qui ne respecte pas la législation sur la confidentialité des données s’expose au risque de perdre la confiance de ses clients », souligne Benoit Perriquet, VP Worldwide Global Accounts chez OpenText. « Les dirigeants doivent mettre à profit une technologie qui, non seulement offre une visibilité sur leurs pratiques de collecte et de protection des données, mais leur permet aussi de répondre rapidement aux demandes des clients sur la manière dont leurs données personnelles sont traitées, collectées et utilisées. En investissant dans des solutions complètes de gestion de la confidentialité, qui automatisent et intègrent les règles de protection de la vie privée dans une entreprise avec les principes en vigueur dans ce domaine, les entreprises peuvent satisfaire à leurs obligations réglementaires, réduire le risque d’atteinte à leur réputation et conserver la confiance de leurs clients. »

*Méthodologie
Étude réalisée via Google Surveys en avril-mai 2020. À la demande d’OpenText, 12 000 consommateurs ont été interrogés anonymement en Allemagne, en Australie, au Canada, en Espagne, en France, au Royaume-Uni et à Singapour. Le panel français comprenait 2000 participants afin de donner un aperçu du point de vue des consommateurs sur la protection de la confidentialité des données pendant la crise du coronavirus.