Data Security Breach a reçu un nouvelle étude sur les arnaques se propageant sur Facebook, les plus répandues à l’échelle mondiale étant de type « qui a vu mon profil ». En seconde position et parmi les stars les plus dangereuses pour la sécurité de votre compte : Rihanna et sa fausse sex tape. Continuer la lecture de Le top 10 des arnaques sur Facebook
Tous les articles par Damien Bancal
Bad News, l’application Android qui diffuse des SMS surtaxés
« Bad News », un nom prédestiné pour une application malveillante de SMS surtaxés. Continuer la lecture de Bad News, l’application Android qui diffuse des SMS surtaxés
Obliger les entreprises à notifier les attaques informatiques qu’elles subissent
Le livre blanc de la défense rendu public le 29 avril par le gouvernement, prévoit une loi obligeant les entreprises non seulement à se doter d’outils de détection et de protection de leurs données, mais aussi à signaler toute attaque qu’elles subissent. Continuer la lecture de Obliger les entreprises à notifier les attaques informatiques qu’elles subissent
Fuites de données : 263 millions d’euros perdus en France
Les cyber-attaques sur les infrastructures de confiance exposent les entreprises françaises à des pertes de l’ordre de 263 millions d’euros, selon une étude de Ponemon et Venafi. La mauvaise gestion de millions de clés cryptographiques et de certificats numériques menace la sécurité et les opérations des entreprises françaises. Continuer la lecture de Fuites de données : 263 millions d’euros perdus en France
Fuite de données via des smartphones nuirait aux entreprises
Un tiers des PME européennes estiment qu’une fuite de données via des smartphones nuirait grandement à leur activité.
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Le pirate de SpamHaus arrêté dans un bunker informatique
La police espagnole aurait arrêté l’auteur du piratage informatique de SpamHaus, un informaticien de 35 ans. Jeudi dernier, la police espagnole a arrêté un informaticien Néerlandais de 35 ans, Sven Olaf Kamphuis, accusé d’être l’auteur du piratage informatique ayant visé SpamHaus. Un DDoS d’une telle ampleur que certains experts expliquaient que l’Internet avait ressenti, un peu, la secousse numérique malveillante.
Arrêté à son domicile de Granollers, banlieue de Barcelone, la police ibérique explique être tombé dans une maison transformée en véritable bunker informatique. L’homme a été présenté au tribunal de Madrid. Placé en prison, il attend son extradition vers les Pays-Bas. Une enquête internationale avait été lancée après ce Déni Distribué de Service ressenti aux USA, aux Pays-Bas et Royaume Uni. Une fiche Europol avait été lancée contre Sven Olaf Kamphuis. L’homme se déplaçait dans une camionnette qu’il utilisait comme un bureau informatique mobile. A première vue, le pirate a cru jouer au plus malin avec une tentative de Social Engineering bancale.
La police espagnole a expliqué qu’il s’était d’abord présenté comme un diplomate, puis comme le ministre des Télécommunications et des Affaires étrangères de la république Cyberbunker. Dans ce « bunker » (sic!), deux ordinateurs portables et des disques durs ont été saisis. Bref, pas de quoi crier à la cyber guerre ! Vous remarquez la photographie du présumé pirate, arborant le tee-shirt du Parti Pirate. Autant dire que l’amalgame est intéressant à visionner.
Synchronisation des mots de passe sous Chrome : une bien mauvaise idée…
La saisie automatique des mots de passe dans votre navigateur est une fonction que vous appréciez. En effet, comment retenir aujourd’hui tous les mots de passe dont on a besoin, d’autant qu’on sait désormais qu’il est impératif d’utiliser des mots de passe complexes ? Pourtant, à l’heure où Google vient d’annoncer les nouvelles versions de Chrome (pour Windows et Android), équipées de cette fonction que nous apprécions tous de synchronisation des mots de passe et des données de saisie automatique, il est temps de jeter un pavé dans la mare de nos certitudes : ce système n’est absolument pas sécurisé ! En effet, les mots de passe stockés par le navigateur ne sont pas protégés : on ne vous réclame aucun mot de passe pour vous connecter à Chrome. Ainsi, n’importe qui peut utiliser votre ordinateur et se connecter sans problème à vos différents comptes et donc à vos données privées.
De plus, l’utilisation de la synchronisation de Google (« Google Sync ») est doublement dangereuse : d’une part, vous laissez Google accéder potentiellement à vos mots de passe, ce qui est risqué lorsqu’on connait sa politique de collecte de données, et d’autre part, un jour ou l’autre Google peut être « hacké », ce qui rend vos mots de passe encore plus vulnérables, puisque les clés de cryptage appartiennent à Google. Il existe une option de sécurité dans Chrome, mais tellement bien cachée que personne ne l’utilise…
Protéger l’entreprise contre les cyberattaques est insatisfaisante
En France, les professionnels de la sécurité informatique estiment que leur capacité à protéger leur entreprise contre les cyberattaques est insatisfaisante. Juniper Networks, leader de l’innovation réseaux, annonce à datasecuritybreach.fr les résultats pour la France d’une étude mondiale réalisée par l’Institut Ponemon pour le compte de Juniper Networks. En France, les entreprises interrogées peinent à se protéger contre les attaques menaçant la sécurité de leur réseau en raison du nombre de terminaux grand public et d’applications introduits sur le lieu de travail, ainsi que du manque de visibilité des systèmes. 65 % des entreprises françaises sondées estiment que la migration des systèmes sur site vers des environnements cloud constitue également une menace importante pour la sécurité de leur réseau.
Réalisée auprès de 4 774 informaticiens et responsables de la sécurité informatique dans neuf pays, dont plus de 450 professionnels en France, l’enquête identifie les problématiques auxquelles les entreprises sont confrontées face aux nouvelles menaces et à leurs difficultés à s’en prémunir. L’enquête montre que la sophistication croissante des cyberattaques, l’évolution des menaces et la crainte croissante du vol de propriété intellectuelle et de secrets professionnels stimulent les investissements dans les technologies de sécurité réseau.
De nombreux professionnels de la sécurité informatique interrogés dans le monde estiment que les entreprises sont mal équipées pour détecter, bloquer et prévenir rapidement les attaques. En France, les personnes interrogées considèrent la stratégie mise en place par leur entreprise pour protéger le réseau contre ces attaques comme « insatisfaisante ». 60 % des professionnels français interrogés sont également convaincus que les nouvelles lois européennes relatives à la protection des informations personnelles auront un réel impact sur l’ensemble des opérations de leur entreprise. Cet impact sera notamment vrai quant à l’obligation pour les entreprises de signaler un vol de données sous 24 heures, la plupart des entreprises sondées ayant fait état d’un vol de données une fois par an au cours des deux dernières années.
L’étude identifie plusieurs problématiques de sécurité réseau auxquelles les professionnels de la sécurité informatique sont confrontés aujourd’hui en France :
· Les entreprises françaises se concentrent sur les menaces internes pour gérer les risques pesant sur la cybersécurité : 43 % des professionnels interrogés en France ont déclaré que leur entreprise utilise une solution de protection de réseau pour faire face aux menaces internes (menaces émanant du réseau) ;
· Il est important de sensibiliser les employés aux nouvelles menaces et aux risques relatifs au cloud : en France, 72 % des professionnels de la sécurité informatique ont déclaré que la sensibilisation aux nouvelles menaces est une priorité pour promouvoir l’utilisation des nouvelles technologies de sécurité ;
· Les préoccupations concernant les lois européennes relatives à la protection des informations personnelles : 60 % des professionnels interrogés en France ont déclaré que les nouvelles lois européennes relatives à la protection des informations personnelles auront un impact important sur l’ensemble des opérations des entreprises et leur mise en conformité.
LivingSocial piraté : 50 millions de clients hackés
Les comptes de 50 millions de membres du site Internet d’achats en ligne LivingSocial piratés. Le pirate a exploité une injection sql pour ponctionner le contenu de la base de données. Noms, dates de naissance, mails et mots de passe chiffrés (MD5) ont été copiés par me pirate informatique. D’après LivingSocial. aucune carte de crédit, ni données bancaires n’ont été volées. LivingSocial est un site commercial américain, basé à Washington. Il offre des réductions de prix à 70 millions de clients dans le monde, notamment aux Etats-Unis, en Asie, en Europe et en Amérique Latine.
Malware android
L’augmentation la plus importante pour les adwares (+34,47%) a été enregistrée entre novembre et décembre 2012, certains développeurs ayant profité des fêtes de fin d’année pour tenter de générer des revenus supplémentaires en misant sur le fait que les nouveaux utilisateurs ignorent le fonctionnement des adwares. Les chevaux de Troie ont connu une augmentation lente mais constante de septembre 2012 à janvier 2013 puis ont légèrement décru en février 2013 (-2,22%).
Les adwares devenant plus intrusifs et programmés plus précisément pour récupérer autant d’informations sensibles que possible, la différence est plus ténue que jamais entre les logiciels légitimes et les applications qui se révèlent en réalité être des malwares. Des adwares virulents portent ainsi de plus en plus préjudice à la vie privée des utilisateurs en recueillant et utilisant des informations personnelles à leur insu.
Bien que les adwares ne soient pas fondamentalement malveillants, data security breach vous montrent souvent qu’ils peuvent recueillir des numéros de téléphone, des coordonnées et des adresses e-mail, qui sont transmis à des tiers ou vendus au plus offrant. Le marché noir valorise énormément ces données qui peuvent être utilisées à des fins marketing pour créer des profils d’utilisateurs.
Puisque la plupart des utilisateurs utilisent leurs appareils personnels à des fins professionnelles, il est logique que l’accès aux fichiers confidentiels et sensibles soit souvent autorisé via ces appareils. Ce n’est donc pas seulement un problème de risques vis-à-vis de leurs données personnelles, mais cela concerne également les informations critiques des entreprises elles-mêmes. Des politiques de BYOD strictes doivent offrir une protection efficace à la fois contre les malwares et contre les adwares sous Android, puisqu’ils ont tous les deux un impact direct sur la préservation de la confidentialité des données.
La principale famille de chevaux de Troie s’intitule « FakeInst », elle escroque les utilisateurs en leur demandant de payer des applications qui sont normalement gratuites. Si les utilisateurs acceptent, l’application envoie des messages SMS à des numéros surtaxés, faisant ainsi grimper leur facture téléphonique.
Parmi les adwares agressifs, la famille Android.Adware.Plankton est la plus présente puisque les développeurs utilisent le framework intégré à l’appli pour monétiser leur développement. Les adwares peuvent également recueillir des informations personnelles telles que des adresses e-mail et des numéros de téléphone. Plus il y a de frameworks associés à une application, plus celle-ci devient intrusive puisqu’elle diffuse les données à plusieurs tiers.
La tendance à la hausse de ces deux types de détection indique que les pirates sont à la recherche d’argent et de moyens d’en obtenir en vendant les données personnelles des utilisateurs. L’argent est le moteur du développement de ces deux catégories.
Bitdefender annonce un antivirus gratuit pour protéger les appareils Android
Bitdefender, éditeur de solutions de sécurité, annonce Antivirus Free pour Android afin d’inciter les utilisateurs à protéger leur smartphone et tablette contre le nombre croissant de malwares ciblant les appareils Android. Bitdefender Antivirus Free pour Android est une solution antivirus gratuite, rapide et puissante qui utilise les dernières technologies d’analyse in-the-cloud de Bitdefender, garantissant ainsi un impact quasi nul sur la batterie et des mises à jour 24 heures sur 24 contre les dernières menaces. Dès son installation, Bitdefender Antivirus Free pour Android protège les utilisateurs en recherchant immédiatement les activités suspectes.
« L’an dernier, nous avons assisté à une explosion du nombre de malwares Android, il devient donc indispensable que les utilisateurs pensent à protéger leurs appareils Android comme ils le font pour leur ordinateur », déclare à data security Breach Fabrice Le Page, Chef de Produits Bitdefender chez Editions Profil. « Afin d’inciter le plus grand nombre des utilisateurs à se protéger contre ces nouvelles menaces, nous avons souhaité que notre solution soit gratuite mais sans concessions sur la qualité, l’efficacité et la légèreté ».
Le nombre de malwares a augmenté de 27% au cours des six derniers mois, et ce, en raison des efforts redoublés des créateurs de malwares pour dérober les informations personnelles des utilisateurs. Les formes les plus courantes de malwares Android peuvent entre autres rapidement faire grimper la facture téléphonique des utilisateurs en appelant discrètement des numéros surtaxés, dérobant des mots de passe, espionnant les e-mails professionnels et surveillant presque toutes les activités des utilisateurs.
Notre vie privée est de plus en plus affectée par la hausse du nombre d’adwares et de malwares Android Parce que les adwares (logiciels espions publicitaires) recueillent plus de données sur les appareils des utilisateurs que ce dont ils ont réellement besoin et que les développeurs ajoutent souvent plus d’un composant adware (framework adware) au sein de leurs applications, la vie des utilisateurs devient de moins en moins privée au profit des développeurs et des publicitaires. De plus en plus de tierces parties ont désormais accès à l’historique de navigation des utilisateurs, à leurs numéros de téléphone, à leurs adresses e-mail et à tout ce qui est nécessaire pour créer des profils complets et personnalisés.
C’est d’autant plus inquiétant que les adwares ciblant les appareils Android ont augmenté de 61% au niveau mondial, entre septembre 2012 et janvier 2013 et que les malwares ont progressé dans le même temps de 27%, allant jusqu’à une hausse de 37% pour les chevaux de Troie selon une étude des Laboratoires Bitdefender. L’adoption d’Android a régulièrement progressé au cours des cinq derniers mois, de même que le nombre de détections de malwares et d’adwares. Il n’est ainsi plus rare de dénicher des malwares et des adwares Android aussi bien sur les marchés dits « alternatifs » que sur la plate-forme officielle Google Play.
