MacDownloader, code malveillant made in Iran

MacDownloader – Un groupe de pirates informatiques Iraniens utiliseraient un logiciel spécialisé dans le vol de données sauvegardées dans les appareils d’Apple.

Un groupe d’espions informatiques, il serait lié à l’Iran [Iran Cyber Security Group ?], utiliserait un logiciel nommé MacDownloader. Le programme malveillant réussirait à voler les informations d’identification et d’autres données sauvegardées dans les appareils Apple. Le malware a été analysé par Claudio Guarnieri et Collin Anderson, deux chercheurs spécialisés dans les campagnes iraniennes de surveillance et d’espionnage visant les droits de l’homme, la politique étrangère et les entités de la société civile.

MacDownloader a été déguisé par les attaquants comme une mise à jour de Flash Player et un outil de suppression d’adware de l’éditeur d’antivirus Bitdefender. L’outil aurait été créé vers la fin de 2016. Une grande partie du code a été copiée à partir d’autres sources et les experts pensent que cela pourrait être une première tentative mise en place par des développeurs amateurs.

Lorsque Guarnieri et Anderson ont effectué leur analyse, le logiciel malveillant était totalement inconnu par les antivirus [plus d’une trentaine, NDR] proposés sur VirusTotal. Depuis quelques jours, une douzaine de fournisseurs ont signalé les fausses applications Flash Player (15/53) et Bitdefender (11/53) comme étant malveillantes. MacDownloader a été découvert, la première fois, sur un faux site Web aux couleurs de la société aérospatiale United Technologies Corporation. Un espace connu pour avoir déjà diffusé, l’année dernière, des logiciels malveillants visant des ordinateurs sous Windows.

Ce malware macOS est lié à Charming Kitten, alias Newscaster et NewsBeef, une menace iranienne connu pour la création de faux comptes sur les réseaux sociaux. Son but, récolter des informations auprès de personnes ciblées aux États-Unis, Israël ou encore en Irak.

Une fois que MacDownloader infecte un périphérique, le malware récolte des informations sur le système, y compris les processus et les applications, et collecte les mots de passe stockés. Le malware Windows utilisé par le groupe est similaire, collectant les informations d’identification et l’historique du navigateur enregistrés depuis Chrome et Firefox. Bien que son code montre que les développeurs de MacDownloader ont tenté d’implémenter des fonctionnalités de mise à jour et de persistance à distance, ces mécanismes ne semblent pas être fonctionnels.

Protection des données, vie privée et biométrie: l’Université suisse à distance distance university lance une formation en ligne

Protection des données, vie privée et biométrie: l’Université suisse à distance distance university lance une formation en ligne unique en Europe.

Accéder à son smartphone avec son empreinte digitale, entrer dans son entreprise par un terminal de reconnaissance faciale, voyager grâce à son identité biométrique… les technologies biométriques régissent peu à peu nos actes de tous les jours, changeant les enjeux en matière d’identité des citoyens et de la vie privée.

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises, administrations et organisations sont confrontées aux questions soulevées par les nouvelles technologies en matière de protection des données. Reconnaissant leurs besoins, l’Université suisse à distance (UniDistance) et l’Institut de recherche IDIAP ouvrent une formation unique en Europe, le 1er avril 2017 : un Certificate of Advanced Studies in Biometrics and Privacy, enseigné en ligne par les meilleurs experts européens.

Maîtriser les défis à venir et se préparer à la nouvelle loi européenne sur la protection des données

Pour la première fois, une formation aborde l’ensemble des aspects liés à la biométrie: technologies, lois, règles et normes en matière de protection des données et de vie privée, aspects éthiques, culturels et sociaux ou encore sciences criminelles.

La nouvelle législation européenne sur le traitement des données, qui vise à préparer l’Europe à l’ère numérique, entrera en vigueur en mai 2018. Applicable à toutes les entreprises et organisations qui offrent des services, elle exige de ces dernières l’instauration de systèmes de gestion des données et des risques. La formation proposée les préparera de manière optimale à cette situation nouvelle.

Un programme unique enseigné par les meilleurs experts en Europe  

Le nouveau programme, extrêmement flexible, est enseigné en ligne. Les participants déterminent leur planning et le rythme de leurs études, quel que soit le pays où ils se trouvent. Une solution idéale pour concilier formation avec obligations professionnelles et familiales. Le diplôme, conçu conformément aux Accords de Bologne, est reconnu dans tous les États membres de l’Union Européenne.

Les cours seront dispensés par les meilleurs spécialistes internationaux. Citons le Dr Sébastien Marcel, expert en systèmes de reconnaissance et d’apprentissage machine, chercheur senior en biométrie à l’institut de recherche IDIAP, Suisse, la Prof. Katerina Kitrokotsa, Associate Professor à la faculté d’informatique de la Chalmers University, Suède, la Prof. Els Kindt, chercheuse en eLaw à Leiden University, Belgique ou encore le Dr Emilio Mordini, Président de Responsible Technology SAS, France.

Pour de plus amples informations: http://www.distanceuniversity.ch/cas-biometrics

UniDistance est le seul institut universitaire à distance – distance university – reconnu par le gouvernement suisse. Depuis 1992, il propose des formations académiques de type Bachelor et Master notamment dans les domaines du droit, de la psychologie, de l’économie et des sciences historiques. http://www.UniDistance.ch

L’Institut de Recherche Idiap est une fondation à but non lucratif spécialisée dans la recherche et le développement dans le domaine de la gestion de l’information multimédia. Cet institut abrite le centre suisse d’excellence en biométrie (Swiss Center for Biometric Research and Testing), qui a pour mission de développer les technologies liées à la sécurité des données biométriques et de faciliter la collaboration entre les chercheurs et les entreprises. http://www.idiap.ch

YesWeHack lance sa plateforme de signalement responsable de vulnérabilités ZeroDisclo.com

En contact permanent avec sa communauté de chercheurs en sécurité, YesWeHack a fait le constat suivant : il est complexe pour un chercheur en sécurité et par conséquent pour un lanceur d’alerte de signaler de manière responsable des failles de sécurité aux entreprises impactées quand celles-ci n’ont pas de programme de Bug Bounty notamment sur BountyFactory.io.

Les découvreurs de failles ne savent pas toujours comment les transmettre aux sociétés concernées sans les dévoiler à un tiers et malheureusement un contact direct avec les sociétés représente toujours un risque judiciaire. Partenaire de confiance de longue date auprès de la communauté des chercheurs en sécurité via ses fondateurs, YesWeHack lance ZeroDisclo.com. Cette plateforme fournit les moyens techniques et l’environnement nécessaire à tous pour adopter le signalement responsable de vulnérabilités communément appelé « Responsible Disclosure« .

La plateforme accessible en direct ou via le réseau Tor, propose à tout internaute de signaler une
vulnérabilité aux CERTs™ au travers d’un formulaire en ligne, en fournissant les informations nécessaires à sa compréhension et à l’évaluation de sa gravité grâce à son score CVSS. Le chercheur peut alors choisir de rester anonyme ou de fournir son identité s’il souhaite être contacté, voire remercié en retour.

Les informations sont ensuite chiffrées via OpenPGP avec la clé du CERT™ directement dans le navigateur, horodatées et signées grâce à la blockchain et transmises automatiquement aux CERTs™ choisis parmi une liste exhaustive. En échange, le chercheur reçoit un certificat qui atteste de son dépôt.

Actuellement, les CERT proposés par ZeroDisclo.com sont les CERT-EU, CERT-FR, US-CERT, et le CERTUBIK créé par Digital Security sélectionné pour les remontées concernant les objets connectés. De plus, les entreprises qui le souhaitent peuvent s’abonner gratuitement sur ZeroDisclo.com pour être informées en temps réel des remontées de failles les concernant et le cas échéant, prendre contact avec les CERTs concerné afin d’en connaître les détails.

L’objectif de ZeroDisclo.com est de responsabiliser la communauté, de permettre aux chercheurs en sécurité de prouver leur bonne foi. ZeroDisclo.com offre une alternative efficace, éthique et responsable face aux services divulguant des vulnérabilités  sur Internet et au marché noir.
Lancée en 2013, YesWeHack met en lien des organisations ou projets ayant des besoins en sécurité
informatique, avec des personnes qualifiées.

4 plateformes interdépendantes sont disponibles :
–  YesWeHack.com : le premier site d’emploi spécialisé dans la sécurité informatique.
– BountyFactory.io : première plateforme européenne de Bug Bounties.
– FireBounty.com : Agrégateur de Bug Bounties.
– ZeroDisclo.com : Plateforme de signalement responsable de vulnérabilités.

Responsible Disclosure : https://en.wikipedia.org/wiki/Responsible_disclosure

CVSS : https://en.wikipedia.org/wiki/CVSS

OpenPGP : https://en.wikipedia.org/wiki/Pretty_Good_Privacy#OpenPGP

CERT™ : https://en.wikipedia.org/wiki/Computer_emergency_response_team

Protonmail permet de passer par TOR pour sécuriser ses correspondances

Le service de courriel sécurisé, ProtonMail, propose son service en passant par une adresse utilisant les nœuds TOR pour sécuriser encore plus les correspondances de ses utilisateurs.

Le service de messagerie chiffrée, ProtonMail, vient d’annoncer le lancement de son service via TOR et l’anonymisation que peut procurer le système TOR et .Onon. L’idée, aider à lutter contre la censure et l surveillance des gouvernements totalitaires. Les développeurs de Protonmail soulignent sur leur blog que l’utilisation de Tor a plusieurs avantages, y compris des couches supplémentaires de chiffrement pour les communications, la protection de l’adresse IP réelle de l’utilisateur, et la possibilité de contourner les mécanismes de censure.

En revanche, l’accès au service aura un impact négatif sur la performance. Attention, le site caché est encore expérimental. Il n’est dont pas aussi fiable que le site « régulier ». Le service passant par TOR peut-être utilisé via l’adresse protonirockerxow.onion.

Il ne peut être utilisé que par le navigateur TOR. Il est uniquement accessible via HTTPS et il utilise un certificat de Digicert, la même société qui a également émis un certificat SSL pour l' »oignon » de Facebook. Des instructions détaillées sur la façon d’accéder au service sur Tor ont été mis à disposition par ProtonMail. Lancé officiellement en 2014, ProtonMail est accessible au public depuis Mars 2016. Le service est accessible via un navigateur Web, ou les applications mobiles iOS et Android.

Protonmail est actuellement le plus grand service de courrier électronique chiffré avec plus de 2 millions d’utilisateurs. Il utilise le système de chiffrement de PGP toujours considéré comme inviolable à ce jour.

Fleercivet : Nouvelle attaque contre les utilisateurs de Google Chrome

Fleercivet – Des chercheurs ont découvert une nouvelle attaque ciblant les utilisateurs de Google Chrome. Cette attaque incite les utilisateurs à télécharger un malware via des injections sélectives sur des sites web créant des problèmes fictifs et proposant de fausses solutions pour les résoudre. Les cibles de ces attaques se trouvent au quatre coins du globe et la méthode d’infection combine les sites Web compromis, le ciblage par navigateur et l’ingénierie sociale pour tromper les utilisateurs.

Le site ZATAZ.COM annonce ce mercredi 18 janvier le top 5 des failles dans les navigateurs en 2016. Au sommet des vulnérabilités révélées l’année dernière, Chrome arrivait en tête.

Des chercheurs de Proofpoint viennent de mettre la main sur un nouveau cas. Cette nouvelle voie d’infection est l’évolution la plus récente de la chaîne ElTest, une chaîne d’infection bien connue qui repose généralement sur des sites web compromis pour diriger les utilisateurs vers des pages hébergeant des exploit kits.

L’infection est simple : le script est inséré dans une page web et réécrit le site web compromis sur le navigateur d’une victime potentielle pour rendre la page illisible, créant un faux problème à résoudre par l’utilisateur.

L’utilisateur est averti via une fenêtre modale fournissant une « solution » : dans le cas présent, l’installation d’un faux pack de polices mis à jour qui est en fait la charge utile d’un malware. En cas d’infection, l’ordinateur commencera à naviguer seul en arrière-plan.

Cette campagne a commencé le 10 décembre 2016. Depuis cette date, l’exécutable téléchargé « Chrome_Font.exe » est en fait un type de malware par fraude publicitaire appelé Fleercivet.

Les écoles bordelaises attaquées par un code malveillant

La moitié des écoles de Bordeaux victimes d’un étrange code malveillant.

Voilà qui est fâcheux ! Qui a cliqué sur le fichier joint qui a mis à mal l’informatique de quasiment la moitié des écoles de Bordeaux.  Une attaque « sans précédent » indique l’adjointe au maire en charge de l’éducation, Emmanuelle Cuny, dans les colonnes de Sud Ouest. A première vue, un ransomware qui s’est promené de machine en machine dans au moins 40 écoles sur les 101 du périmètres de la ville bordelaise.

Les données pédagogiques pourraient être perdues suite à cette infection selon le quotidien r. Espérons que le mot sauvegarde soit dans la bouche et le cahier des charges de la municipalité concernant les écoles maternelles et primaires de la ville.

A noter que l’Académie de Bordeaux a un contrat avec l’éditeur d’antivirus TrendMicro. Ce dernier  propose Internet Security dans « toutes les écoles du 1er degré, publiques et privées« . A première vue, tout le monde ne l’a pas installé. Une bonne formation ne fera pas de mal non plus !

Le site ZATAZ indiquait il y a peu des chantages informatiques ayant visé des écoles britanniques. Un pirate réclamait plus de 9000 euros à plusieurs établissements scolaires après avoir chiffré les données sauvegardées dans les ordinateurs des écoles.

Fuite de données sensibles concernant des juges

Un document papier retraçant les identités, les adresses et les numéros de téléphones de dizaines de juges découvert… par terre !

Le moins que l’on puisse dire est que les fuites de données peuvent prendre toutes les formes possibles et imaginables. 126 juges canadiens viennent de découvrir les joies du document ulta sécurisé, tellement qu’il n’existe qu’en version papier… mais qui se retrouve au sol, sur une place de parking. Un dossier comprenant les identités, les adresses postales privées, les numéros de téléphones de juges. Une tête en l’air l’a oublié ? la fait tomber ?

Comme l’indique nos cousins de « La Presse« , une copie a été retrouvée sur la place de stationnement d’un commerce des Laurentides. Un document qui n’existerait pas en mode numérique [ils l’ont tapé avec une vieille machine à écrire ?, NDR], sur aucun serveur et qu’il « est interdit de transmettre par voie électronique » [donc en numérique !, NDR].

Plus étonnant, cette liste, en plus des données professionnelles, comporte aussi les données privées, dont les identités des conjoints. Vue l’ambiance locale entre les nombreuses affaires de corruptions, de détournement d’argent, une telle liste pourrait être particulièrement préjudiciable pour le pays et ces hommes de loi.

Hôtels – Enquête sur une fuite de données pour le groupe IHG

Le groupe britannique InterContinental a lancé une enquête interne à la suite de la découverte de données bancaires de clients utilisées hors de ses hôtels.

L’InterContinental Hotels Group est une société britannique forte de 5000 hôtels de part le monde. Des marques prestigieuses allant du Kimpton, en passant par Indigo, Even Hotels, HuaLuxe, Crowne Plaza ou encore les Holiday Inn. Bref, une marque présente dans 100 pays.

En France, on trouve des Crowne Plaza, Intercontinental et autres Holiday Inn à Lille, Marseille, Lyon, ou Cannes. Le plus connu étant l’InterContinental Carlton Cannes haut lieu people lors du festival du cinéma.

Le chercheur Krebs a eu vent de plusieurs enquêtes en cours concernant une probable fuite de données visant IHG, et plus précisément ses Holiday Inn sur le territoire américain. Voici le message officiel de la société hôtelière britannique à ce sujet :

« IHG takes the protection of payment card data very seriously. We were made aware of a report of unauthorized charges occurring on some payment cards that were recently used at a small number of U.S.-based hotel locations.  We immediately launched an investigation, which includes retaining a leading computer security firm to provide us with additional support.  We continue to work with the payment card networks.

We are committed to swiftly resolving this matter. In the meantime, and in line with best practice, we recommend that individuals closely monitor their payment card account statements.  If there are unauthorized charges, individuals should immediately notify their bank. Payment card network rules generally state that cardholders are not responsible for such charges. »

Comme j’ai pu souvent le rappeler, les lieux de vacances ou professionnels sont de véritables nids de données pour les pirates. Je vous expliquais  comment il était simple de mettre la main sur des informations sensibles dans les ordinateurs d’hôtels, mais aussi comment des pirates avaient pris le pouvoir dans l’informatique d’hôtels en Tunisie. Depuis quelques mois, les fuites de données et autres piratages s’accumulent comme nous avons pu le voir avec les Hotels Kimpton, Trump, Hilton, Mandarin Oriental, Starwood, Hyatt ou encore des hôtels basés sur l’Île Maurice.

Piratage à l’OSCE

L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) confirme avoir fait l’objet d’un incident majeur de sécurité informatique.

L’OSCE, Le chien de garde international chargé de la sécurité et des droits de l’homme, a confirmé avoir été victime d’une violation de sa sécurité informatique en novembre 2016.

Selon un porte-parole de l’Organization for Security and Co-operation in Europe, les systèmes de l’organisation sont désormais sûrs : « Nous avons reçu de nouveaux mots de passe« .

Devinez qui est montré du doigt ? Le journal Le Monde indique qu’il s’agit, selon une source, de pirates Russes, très certainement le groupe APT28 – qui est aussi connu sous le nom de Fancy Bear, Pawn Storm ou Sofacy Group.

Espérons que cette source soit mieux renseignée que ceux qui annonçaient que les Russes avaient visé plusieurs états américains lors des élections américaines. Des pirates à la solde de Poutine qui n’étaient en fait que des « tests » de l’U.S. Department of Homeland.

10 failles corrigées pour VirusScan Linux de McAfee

L’éditeur d’antivirus a mis en ligne des correctifs permettant de corriger une dizaine de faille visant son logiciel d’entreprise ViruScan Linux.

McAfee, filiale d’Intel, a publié des correctifs pour dix failles pour la version de VirusScan Entreprise tournant sous Linux [McAfee VirusScan Enterprise for Linux]. Des failles qui permettent à un attaquant de prendre la main, à distance, sur un système. McAfee avait été notifié de ces trous de sécurité… il y a six mois.

Le chercheur en sécurité Andrew Fasano du MIT Lincoln Laboratory a déclaré qu’au total, se sont 10 failles de sécurité qui ont été patchées. Les problèmes de sécurité permettaient l’exécution de code à distance en tant qu’utilisateur root. « Voilà donc un logiciel peut apprécié, qui fonctionne en tant que root, qui annonce sécuriser les entreprises, qui n’a pas été patché depuis des lustres » s’amuse le chercheur.

Quatre des failles sont considérées comme critiques : CVE-2016-8020, CVE-2016-8021, CVE-2016-8022 et CVE-2016-8023.

Toutes ces vulnérabilités ont déjà été confirmées dans les versions 1.9.2 à 2.0.2 de McAfee VirusScan Enterprise for Linux. Ils est largement recommandé de mettre à jourl’outil… ou d’en changer !

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