L’importance de l’expertise pour l’évolution et l’exploitation d’infrastructures cloud : efficacité, sécurité et agilité

Dans un monde numérique en constante évolution, les infrastructures cloud sont devenues la clé de voûte des entreprises qui cherchent à optimiser leurs opérations, à sécuriser leurs données et à maintenir leur agilité. Cependant, la gestion et l’évolution de ces infrastructures nécessitent un certain niveau d’expertise, d’où l’importance de faire appel à des experts. Les plateformes de services sur-mesure offrent une réponse personnalisée aux besoins d’efficacité, de sécurité et d’agilité des entreprises.

Expertise : un atout majeur pour l’exploitation du cloud

La complexité inhérente à la gestion du cloud peut s’avérer déroutante, même pour les entreprises technologiquement averties. L’exploitation efficace du cloud nécessite une compréhension approfondie des diverses architectures, des protocoles de sécurité, des réglementations et des meilleures pratiques du secteur. C’est ici qu’intervient l’expertise. Les experts en cloud peuvent aider les entreprises à naviguer dans ce labyrinthe complexe et à maximiser la valeur de leurs investissements dans le cloud.

Sécurité : une priorité dans le cloud

La sécurité est une préoccupation majeure pour toutes les entreprises, et le cloud n’y échappe pas. Les menaces de sécurité évoluent constamment, ce qui rend la protection des données et la sécurité des infrastructures cloud un défi permanent. Les experts en sécurité du cloud comprennent ces menaces et sont équipés pour les contrer, assurant ainsi la sécurité des précieuses données de l’entreprise. De plus, les plateformes de services sur-mesure peuvent offrir des solutions de sécurité adaptées à l’entreprise, renforçant ainsi sa posture de sécurité. L’expérience, la certification ISO 27001 sont des élèments à prendre en compte pour le choix de votre expert du cloud sur-mesure.

Agilité : un avantage concurrentiel

Dans le paysage commercial d’aujourd’hui, l’agilité est devenue un avantage concurrentiel clé. Les entreprises doivent être capables de s’adapter rapidement aux changements du marché et aux nouvelles opportunités. Grâce à l’expertise en cloud, les entreprises peuvent tirer pleinement parti de l’agilité offerte par le cloud. Les experts peuvent aider à concevoir et à mettre en œuvre des infrastructures cloud qui favorisent l’innovation rapide, l’évolutivité et la flexibilité. Avec le soutien d’experts, les entreprises peuvent profiter pleinement de l’agilité offerte par le cloud. Que ce soit pour le déploiement rapide de nouvelles fonctionnalités, l’adaptation à la demande fluctuante, ou l’expansion dans de nouveaux marchés, l’expertise en cloud peut aider les entreprises à rester compétitives dans le paysage commercial en constante évolution.

Plateformes de services sur-mesure : la réponse aux besoins d’efficacité, de sécurité et d’agilité

Les plateformes de services sur-mesure offrent une solution idéale pour les entreprises cherchant à exploiter au mieux le cloud. Ces plateformes fournissent une gamme de services personnalisés qui répondent aux besoins spécifiques de chaque entreprise. Que ce soit pour améliorer l’efficacité opérationnelle, renforcer la sécurité ou augmenter l’agilité, une plateforme de services sur-mesure peut fournir les outils et l’expertise nécessaires. L’expertise en cloud permet aux entreprises de naviguer avec confiance dans le paysage complexe du cloud, d’assurer la sécurité de leurs données et de rester agiles face à l’évolution rapide du marché. Les plateformes de services sur-mesure, en particulier, offrent une solution unique qui répond aux besoins spécifiques de chaque entreprise, garantissant ainsi l’efficacité, la sécurité et l’agilité. Avec l’évolution constante des applications modernes et des outils collaboratifs, l’adoption d’une infrastructure cloud fiable et performante est devenue une nécessité impérieuse pour les entreprises de toutes tailles, des PME aux grandes organisations. Les aspects tels que la sécurisation et la résilience des infrastructures, l’authentification renforcée et les droits d’accès, ainsi que la minimisation de la surface d’exposition, sont des facteurs clés dans ce processus.

Un accompagnement personnalisé pour des performances optimisées

L’accompagnement d’experts dans le déploiement et la gestion des infrastructures cloud permet d’adapter les ressources aux besoins précis des entreprises. Ainsi, les coûts sont optimisés, évitant le gaspillage de ressources inutilisées. De plus, les experts peuvent aider à identifier les opportunités d’amélioration, contribuant ainsi à une meilleure efficacité opérationnelle.

La tranquillité d’esprit grâce à la sécurité renforcée

Les plateformes de services sur-mesure offrent des solutions de sécurité personnalisées, qui peuvent être adaptées en fonction des exigences spécifiques de chaque entreprise. Cela signifie que les entreprises peuvent se concentrer sur leur cœur de métier, en sachant que leurs données et infrastructures sont protégées par des experts en sécurité du cloud.

En somme, l’expertise en cloud est une ressource précieuse pour toute entreprise cherchant à exploiter au mieux le potentiel du cloud. Les plateformes de services sur-mesure, avec leur offre personnalisée, fournissent l’expertise, les outils et les solutions nécessaires pour répondre aux besoins d’efficacité, de sécurité et d’agilité des entreprises. En faisant appel à des experts, les entreprises peuvent non seulement optimiser leur utilisation du cloud, mais aussi renforcer leur position dans le marché numérique d’aujourd’hui.

La détection des menaces en cybersécurité : une clé pour la protection des données

La cybersécurité est devenue un élément essentiel de nos vies numériques. Avec l’explosion du nombre de données numériques produites et la multiplication des cyberattaques, la nécessité de protéger nos informations n’a jamais été aussi importante. Un aspect crucial de cette protection est la détection des menaces, un domaine complexe mais essentiel de la cybersécurité (1).

Qu’est-ce que la détection des menaces en cybersécurité ?

La détection des menaces est un processus qui consiste à surveiller les systèmes informatiques et les réseaux pour identifier les signes d’activités suspectes ou malveillantes qui pourraient indiquer une cyberattaque (2). Elle fait partie intégrante de la gestion des risques en cybersécurité et est souvent combinée à la prévention et à la réponse aux incidents pour former une approche globale de la protection des données.

Comment fonctionne la détection des menaces ?

La détection des menaces repose sur une combinaison de technologies, de processus et de personnes. Technologies : Des outils spécifiques, comme les systèmes de détection des cybermenaces et de prévention des intrusions (IDPS), les logiciels antivirus et les systèmes de gestion des informations et des événements de sécurité (SIEM), sont utilisés pour surveiller les réseaux et les systèmes, détecter les activités suspectes et signaler ou bloquer les attaques (3).

Processus : Les processus de détection des menaces comprennent la collecte et l’analyse de données de sécurité, l’évaluation des risques, la détection des anomalies et la réponse aux incidents. Les organisations peuvent utiliser des approches basées sur les signatures, qui recherchent des comportements connus malveillants, ou des approches basées sur le comportement, qui identifient les activités anormales qui pourraient indiquer une attaque (4).

Personnes : En fin de compte, les personnes sont un élément clé de la détection des menaces. Les analystes de sécurité surveillent les alertes, évaluent les risques, enquêtent sur les incidents et coordonnent la réponse aux incidents. Ils s’appuient sur leur expertise et leur jugement pour interpréter les données et prendre des décisions (5).

La détection des menaces à l’ère de l’IA

La détection des menaces évolue constamment pour faire face à la nature changeante des cyberattaques. Une tendance clé est l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) et du machine learning pour améliorer la détection. Ces technologies peuvent aider à analyser de grandes quantités de données, à identifier les modèles et les anomalies, et à prédire et à prévenir les attaques (6) comme le préconise l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

Cependant, bien que la détection des menaces soit un élément clé de la cybersécurité, elle ne peut pas à elle seule garantir la sécurité. Elle doit être intégrée dans une approche globale de la cybersécurité qui comprend également la prévention, la protection, la réponse et la récupération.

La détection proactive des menaces

Dans le paysage en constante évolution des cybermenaces, une approche proactive de la détection est essentielle. Cela comprend l’utilisation de technologies de pointe, l’adoption de pratiques d’hygiène numérique solides, le maintien de la sensibilisation à la sécurité et la formation continue des employés à la cybersécurité.

La détection proactive des menaces implique également une veille continue sur les nouvelles vulnérabilités et les nouvelles formes de cyberattaques. Les organisations doivent s’efforcer de rester à jour sur les dernières menaces et de mettre à jour leurs systèmes et leurs processus en conséquence.

Les défis de la détection des menaces

La détection des menaces présente plusieurs défis. Premièrement, le volume de données à analyser peut être énorme, rendant difficile l’identification des activités suspectes. Deuxièmement, les cybercriminels deviennent de plus en plus sophistiqués, utilisant des techniques avancées pour éviter la détection.

De plus, les faux positifs peuvent être un problème, avec des systèmes qui signalent des activités normales comme suspectes, ce qui peut entraîner une surcharge d’alertes pour les équipes de sécurité. Enfin, le manque de compétences en cybersécurité peut également être un défi, avec une pénurie mondiale de professionnels qualifiés dans ce domaine (7).

La détection des menaces est une composante essentielle de la cybersécurité. Alors que les cybermenaces continuent d’évoluer, les organisations doivent rester vigilantes et proactives dans leur approche de la détection des menaces. Cela nécessite une combinaison de technologies avancées, de processus solides et de personnes qualifiées. Malgré les défis, une détection efficace des menaces peut grandement contribuer à protéger les organisations contre les cyberattaques.

  1. « Understanding Threat Detection in Cyber Security, » IT Governance Blog, 2021.
  2. « The Essential Guide to Threat Hunting, » SANS Institute, 2022.
  3. « Intrusion Detection System (IDS) and its Detailed Function – SOC/SIEM, » ScienceDirect, 2021.
  4. « Understanding the Basics of Threat Detection, » IBM Security Intelligence, 2022.
  5. « Human Factor in Cyber Security, » Journal of Cybersecurity, Oxford Academic, 2021.
  6. « How AI and Machine Learning Are Transforming Cybersecurity, » Forbes, 2022.
  7. « Cybersecurity Skills Shortage Soars, Nearing 3 Million, » Infosecurity Magazine, 2021.

Identité numérique européenne : Le futur de la vie privée en ligne

En 2024, tous les pays européens devront mettre à la disposition de leurs citoyens un Digital ID Wallet. Grace à ce portefeuille électronique, ils pourront, depuis leurs terminaux électroniques, stocker et gérer leur identité numérique, et partager leurs attributs personnels vérifiés. Utilisable partout en Europe, il placera les citoyens au centre du contrôle de leurs données personnelles et garantira un très haut niveau de sécurité.

Louer un appartement, acheter une voiture, ouvrir un compte en banque, contracter un prêt bancaire, donner son consentement pour un acte médical, s’inscrire dans une université… Des démarches aujourd’hui dématérialisées qui nécessitent de renseigner des dizaines de formulaires, de prouver son identité, de s’authentifier sur une multitude de services numériques (site e-commerce, services publics…) et parfois de transmettre des captures de justificatifs papier par email, sans sécurité particulière, lors de la transmission puis du stockage, et contenant souvent beaucoup plus d’informations que nécessaire. Autant d’opérations complexes et chronophages pour tous les usagers, notamment ceux pour qui la protection des droits et données personnelles et la maitrise des outils numériques et solutions de sécurité ne coulent pas de source.

C’est pourquoi l’Union européenne, dans sa politique de la « Décennie numérique« , a notamment demandé aux États membres de proposer un Digital ID Wallet. Elle souhaite offrir à tous les citoyens les moyens de stocker et gérer leurs identité numérique, identifiants et attributs personnels depuis un portefeuille électronique hébergé sur leurs terminaux personnels (smartphone, tablette, portable).

Disponible à partir de 2024, ce portefeuille électronique pourra contenir les éléments vérifiés de la carte d’identité nationale biométrique (empreintes digitales, photographies, informations textuelles), des attributs personnels authentifiés et certifiés (permis de conduire, acte de naissance, carte bancaire, justificatif de domicile, fiche d’imposition, diplômes, feuilles de paie, documents de santé…).

Reprendre le contrôle de ses données personnelles

En deux décennies, nos usages se sont profondément numérisés. Les données personnelles qui permettent d’identifier tout ou partie d’une personne – données d’état civil, adresse email ou postale, mots de passe, fiches d’impôt, salaire, facture EDF, sans oublier la transmission de données personnelles qui ne sont pas encore numérisées, telles que diplômes, factures et justificatifs en tout genre – sont communiquées à des tiers (services publics, entreprises privées) et stockées dans d’immenses et innombrables bases de données. Une centralisation de données personnelles qui présente des risques de cyberattaques, des risques d’utilisation peu scrupuleuse de données personnelles à des fins commerciales mais aussi des problématiques énergétiques de stockage.

En demandant aux États membres de proposer à leurs résidents un tel portefeuille numérique, l’UE permet à chaque citoyen de reprendre le contrôle et l’utilisation de son identité. Ainsi, il pourra, grâce aux technologies du wallet, circonscrire le partage de ses données aux seules nécessaires à la délivrance du service. Il pourra par exemple donner accès à son revenu d’imposition sans être contraint, comme c’est le cas actuellement, de délivrer l’intégralité de sa feuille d’impôts. Le citoyen pourra aussi récupérer ses données créées et vérifiées par des tiers sous forme d’attestations (Qualified Electronic Attribute Attestation – QEAA), les stocker dans son wallet, et les communiquer lorsque nécessaire. Via ce dispositif « zero knowledge proof », il pourra par exemple prouver sa majorité sans pour autant fournir sa date de naissance, car l’utilisation de son wallet garantira que l’information a été vérifiée par ailleurs.

Faire des citoyens les maîtres de leurs données d’identité

A l’heure actuelle, toutes les données personnelles de chaque citoyen sont stockées dans des bases de données privées et publiques. Elles seront, grâce à ce wallet, décentralisées et gérées individuellement par chaque citoyen européen. En devenant souverain de ses données, il pourra donc consciemment choisir de les partager sans peur et en toute sécurité. Il reprendra ainsi le contrôle de sa vie numérique, maitrisera ses données personnelles et la manière dont elles circuleront.

Prévu pour 2024, ce wallet sera fourni aux citoyens par leurs pays de domiciliation. Proposé par chaque État membre, il pourra être délivré par des établissements publics ou privés. Simple d’utilisation et interopérable, ce wallet devra répondre à des normes et spécifications techniques garantissant un haut niveau de sécurité. Si aucune obligation d’utilisation de ce portefeuille électronique européen n’est exigée, l’UE mise sur la fluidité et la simplicité d’un tel dispositif pour convertir tous les européens. (Par Stéphane Mavel, en charge de la stratégie Identité Numérique d’IDnow)

Secret de freelance : découvrez comment rencontrer des centaines de pros en deux clics de souris

Les plateformes pour freelancers en informatique offrent un accès global aux talents, une flexibilité, une gestion des paiements sécurisée, une communauté active et un gain de temps. Exemple avec FreeLanceRepublik.

Les plateformes pour freelancers en informatique offrent une multitude d’avantages aussi bien pour les freelancers que pour les clients. Tout d’abord, ces plateformes permettent aux clients d’accéder à une vaste sélection de talents du monde entier, offrant ainsi un accès à une expertise spécialisée dans divers domaines informatiques tels que le développement web, l’intelligence artificielle et le design. Un exemple avec le partenaire de cet article, FreeLanceRepublik.

Une plateforme flexible

Flexible, adaptée aux besoins des projets, permettant aux clients d’engager des freelancers pour des périodes spécifiques et d’ajuster facilement leurs effectifs. Une mission freelance simplifiée grâce à un processus de recherche et d’embauche différent. La plateforme est forte, au moment de l’écriture de ce test, de mises en relation entre 8 347 freelances et des entreprises françaises. Une mise en relation permettant de gagner du temps et des efforts.

Des fonctionnalités de gestion des paiements sécurisées, agissant en tant qu’intermédiaire pour garantir que les freelancers sont rémunérés et que les clients bénéficient d’une protection en cas de problème permet de s’assurer une parfaite collaboration. En outre, ces plateformes favorisent la création de communautés actives où les freelancers peuvent interagir, collaborer et obtenir un soutien, tout en offrant également un support client pour résoudre les problèmes. « 80% des entretiens débouchent sur un contrat. Juridique, assurance, suivi, paiements : nous gérons la mission de A à Z« , souligne l’équipe de Freelancerepublik.com.

Projet spécifique et freelances efficaces

« Une plateforme pro, simple et efficace pour trouver la bonne personne et renforcer une équipe rapidement. Original dans la démarche et efficace pour la facturation, le service de FreelanceRepublik nous a vraiment apporté une forte valeur ajoutée lors de notre recherche d’une ressource Android Senior.» indique Nicolas Martignole, CTO de Captain Dash. Même écho pour Arnaud, DSI « Nous voulions trouver un freelance informatique pour aider l’un de nos développeurs Java. FreelanceRepublik a su nous proposer d’excellents profils en un rien de temps, ce qui nous a permis d’engager la personne adaptée à la mission et surtout à notre entreprise. » Plus de 500 entreprises, selon le portail, ont déjà pu recruter leurs Freelances rapidement et efficacement.

Avantages à l’emploi

La plateforme offre plusieurs avantages tant pour les freelancers que pour les clients. Voici cinq exemples concrets d’avantages repéré sur FreeLanceRepublik :

Accès à une large base de talents : Les plateformes pour freelancers en informatique regroupent des professionnels du monde entier, offrant aux clients un accès à une vaste sélection de compétences et d’expertises. Cela leur permet de trouver facilement des freelancers spécialisés dans des domaines spécifiques tels que le développement web, l’intelligence artificielle, le design, etc.

Flexibilité et échelle : Les plateformes pour freelancers permettent aux clients d’adapter leurs équipes en fonction des besoins de leurs projets. Ils peuvent engager des freelancers pour des périodes spécifiques, à temps plein ou à temps partiel, et augmenter ou réduire leurs effectifs en fonction des exigences du projet. Cela offre une grande flexibilité et une échelle facilement ajustable.

Gain de temps et d’efforts : Les plateformes pour freelancers simplifient le processus de recherche et d’embauche des talents en informatique. Les clients peuvent publier des offres d’emploi, examiner les profils des freelancers, accéder à leurs portfolios et évaluer les commentaires laissés par d’autres clients. Cela permet de gagner du temps et des efforts dans le processus de sélection et de recrutement.

Gestion des paiements et garantie de paiement : Les plateformes pour freelancers fournissent souvent des fonctionnalités de gestion des paiements sécurisées. Elles peuvent agir en tant qu’intermédiaire pour assurer que les freelancers reçoivent leur paiement et que les clients bénéficient d’une protection en cas de litige ou de problème avec le travail réalisé.

Communauté et soutien : Les plateformes pour freelancers offrent souvent une communauté active où les freelancers peuvent interagir, partager des connaissances et obtenir un soutien. Cela peut favoriser la collaboration, l’apprentissage et le réseautage entre pairs. De plus, les plateformes peuvent également fournir un support client pour aider à résoudre les problèmes et répondre aux questions des utilisateurs.

Une vulnérabilité corrigée dans le plug-in Advanced Custom Fields pour WordPress

Une faille de sécurité a été identifiée dans le plug-in Advanced Custom Fields pour WordPress, permettant l’insertion de code malveillant sur approximativement deux millions de sites web. Cela pourrait causer des préjudices aux sites eux-mêmes et à leurs utilisateurs.

Cette faille concerne spécifiquement les plug-ins Advanced Custom Fields et Advanced Custom Fields Pro, développés par Delicious Brains. Ces outils offrent aux administrateurs de sites WordPress une plus grande maîtrise sur leur contenu et leurs données.

Patchstack a révélé le 5 février qu’une attaque XSS (cross-site scripting) pouvait être menée via ces plug-ins. En termes simples, une attaque XSS consiste pour un agresseur à insérer du code, généralement dans une zone de texte sur un site web. Ce code est ensuite exécuté par le site. Bien que ce type d’attaque soit moins fréquent qu’il y a une décennie, il existe toujours des exceptions.

En exploitant cette faille, il serait possible d’exécuter du JavaScript à l’insu des visiteurs du site. Cela pourrait conduire au vol de données des visiteurs ou à la prise de contrôle du site entier, si l’utilisateur affecté est un administrateur du site.

Un correctif a été publié début avril pour résoudre ce problème. Depuis le 5 mai, Patchstack et Rafie Muhammad, le chercheur de Patchstack qui a identifié la faille, ont été autorisés à partager publiquement leurs découvertes. Pour remédier à la situation, les utilisateurs d’Advanced Custom Fields doivent mettre à jour leur version vers la 6.1.6 ou une version ultérieure. Cette vulnérabilité a été enregistrée sous le code CVE-2023-30777.

Les banques russes mécontentes des nouvelles règles liées au VPN

Les banques russes sont mécontentes des nouvelles règles imposées par le gouvernement de Poutine, selon lesquelles les informations sur les services VPN doivent être transmises par courrier électronique.

Saviez-vous que Poutine se met de plus en plus de monde à dos dans son pays ? Dernier exemple en date, et pas des moindres, les banques russes. Ces dernières sont mécontentes des nouvelles exigences de la Banque centrale de la Fédération de Russie concernant le transfert d’informations sur l’utilisation des services VPN.

Les institutions financières ont une attitude négative envers les nouvelles exigences du régulateur local, l’autorité fédérale russe chargée de la supervision et du contrôle des médias, des communications et des technologies de l’information. Pourquoi ? Les informations liées aux VPN utilisés doivent être transmises à Roskomnadzor via un canal non sécurisé par courriel.

Selon les nouvelles exigences, les institutions financières russes sont tenues de fournir à Roskomnadzor des informations sur les services VPN utilisés pour automatiser les processus technologiques d’ici le 2 juin 2023. Ceci est fait dans le but « d’éliminer les risques du fonctionnement des systèmes d’information de l’industrie » écrivent les fonctionnaires.

Envoyer des informations sensibles, par courriel !

Il ne faut pas être une lumière pour comprendre et savoir que la transmission d’informations aussi sensibles par courrier électronique comporte d’énormes risques de fuite de données. Si ces informations tombent entre les mains de cybercriminels, ils disposeront de données sur toutes les adresses IP des services VPN exploités dans des bureaux bancaires, par exemple. De quoi lancée des attaques DDoS contre le siège social d’une banque russe particulière, mais également contre ses succursales. De quoi couper les clients des services bancaires pendant une longue période.

Le Roskomnadzor (en russe : Роскомнадзор) est l’autorité fédérale russe chargée de la supervision et du contrôle des médias, des communications et des technologies de l’information. Son nom complet est « Service fédéral de supervision dans le domaine des communications, des technologies de l’information et des médias de masse ». Il a été créé en 2008 et est subordonné au gouvernement russe.

Les principales responsabilités du Roskomnadzor incluent la régulation des médias, la censure de l’internet, la protection des données personnelles, la surveillance des télécommunications et la délivrance de licences pour les activités de médias et de communication. Le Roskomnadzor est également chargé de faire respecter les lois sur la protection des droits des consommateurs et de la concurrence loyale dans le domaine des communications.

Dans le cadre de ses fonctions, le Roskomnadzor a souvent été critiqué pour sa censure d’Internet et la suppression de contenus en ligne. Il a également bloqué l’accès à plusieurs sites web, y compris des plateformes de médias sociaux et des services de messagerie, en raison de préoccupations liées à la sécurité nationale, à la désinformation ou à la violation des lois russes.

Le FBI a annoncé avoir neutralisé un virus du FSB

Le Bureau fédéral d’enquête des États-Unis annonce la neutralisation d’un code malveillant du nom de Snake. Le malware serait une arme numérique du FSB, le service de sécurité russe.

Dernièrement, une l’alerte lancée dans un blackmarket russe de la tentative du service de renseignement russe FSB d’intercepter des informations du pirate auteur de stealer (logiciel voleur de données), Titan Stealer, affichait les nombreux fronts cyber de ce service de renseignement russe.

Le Département de la Justice explique comment le FBI venait de mettre fin à la vie de Snake, un présumé code malveillant exploité par le FSB. Selon le Bureau Fédéral d’Investigation, Snake aurait exploité un réseau P2P pour les basses besognes de ses exploitants. Selon le communiqué officiel de l’agence, la gestion de ce réseau était assurée par le « Centre 16 » du Service fédéral de sécurité russe (FSB). Snake est connu sous un autre nom, Turla.

Le FBI estime que cette division a utilisé différentes versions du malware Snake pendant près de 20 ans pour voler des documents confidentiels provenant de centaines de systèmes informatiques dans au moins 50 pays membres de l’OTAN.

Lors de l’opération baptisée Medusa [le même nom qu’un groupe de pirates utilisateurs de ransomwares], le malware a été désactivé sur les appareils compromis faisant partie du réseau unifié à l’aide de l’outil Perseus développé par le FBI. Le processus impliquait un contact physique avec les ordinateurs infectés. Des appareils provenant d’autres pays ont également été découverts dans le réseau, et les autorités américaines ont envoyé toutes les recommandations nécessaires à leur égard.

« Le ministère de la Justice, en collaboration avec nos partenaires internationaux, a démantelé un réseau mondial d’ordinateurs infectés par des malwares utilisés par le gouvernement russe pendant près de deux décennies pour mener des cyber espionnages, y compris contre nos alliés de l’OTAN« , a déclaré le procureur général des États-Unis, Merrick Garland. Nous continuerons à renforcer notre défense collective contre les efforts de déstabilisation de la Russie, visant à compromettre la sécurité des États-Unis et de nos alliés ».

Le DOJ affirme que le gouvernement américain « contrôlait des agents du FSB » affectés à l’utilisation de Turla. Ces agents auraient mené des opérations quotidiennes en utilisant Snake à partir d’une institution du FSB à Ryazan. Le virus lui-même est qualifié de « logiciel malveillant à long terme le plus complexe du FSB pour le cyber espionnage ».

Snake permet à ses opérateurs de déployer à distance des outils malveillants supplémentaires pour étendre les fonctionnalités du logiciel afin de détecter et de voler des informations confidentielles et des documents stockés sur un appareil spécifique. Un voleur 2.0 comme Titan Stealer.

De plus, le réseau mondial d’ordinateurs compromis par Snake fonctionne comme un réseau P2P caché, utilisant des protocoles de communication spéciaux conçus pour rendre l’identification, la surveillance et la collecte de données difficiles pour les services de renseignement occidentaux et d’autres services de renseignement radio. Après le vol de données, une routage en cascade est utilisé pour les livrer aux opérateurs à Ryazan.

Vulnérabilités : trois 0day à corriger d’urgence

Microsoft élimine trois 0days dans Windows, deux sont utilisés dans des cyber attaques.

Microsoft a publié de nombreux correctifs en ce mois de mai pour Windows. Au total, les développeurs ont corrigé 38 problèmes, dont trois vulnérabilités zero-day (0day).

Six vulnérabilités ont reçu le statut de critiques, car elles permettent l’exécution de code à distance.

Huit vulnérabilités d’escalade de privilèges. Quatre façons de contourner les fonctions de sécurité. 12 trous menant à l’exécution de code à distance. Huit problèmes de divulgation. Cinq vulnérabilités DoS. Une possibilité de spoofing.

Quant aux trois 0days que Microsoft a fermé ce mois-ci : deux d’entre eux sont déjà activement utilisés dans de véritables cyberattaques, et le reste attend dans les coulisses, puisque les détails techniques sont sur le Web.

CVE-2023-29336 est l’une des vulnérabilités exploitées. Provoque une élévation et affecte Win32k. Avec son aide, les pirates peuvent obtenir des privilèges de niveau SYSTEM dans le système d’exploitation.

CVE-2023-24932 est une autre vulnérabilité exploitable qui pourrait conduire à des contournements de sécurité. C’est ce 0day qui est utilisé pour installer le bootkit BlackLotus UEFI .

CVE-2023-29325 est le dernier 0day affectant Windows OLE qui pourrait conduire à l’exécution de code à distance. Il peut être utilisé avec un e-mail spécialement conçu.

Début 2023, les responsables ukrainiens du CERT-UA avaient signalé une vulnérabilité à l’équipe de réponse aux incidents de Microsoft après que des pirates basés en Russie avaient utilisé une vulnérabilité dans le service de messagerie Outlook de Microsoft (CVE-2023-23397). L’attaque aurait visé quelques organisations des secteurs gouvernemental, des transports, de l’énergie et militaire en Europe selon le CERT-UA.

Bien que le problème ait été corrigé en mars 2023, le chercheur d’Akamai, Ben Barnea, découvrait un moyen de contourner le correctif. Il permettrait à un pirate d’utiliser la vulnérabilité pour contraindre un client Outlook à se connecter à un serveur contrôlé par l’attaquant. Une vulnérabilité sans clic – ce qui signifie qu’elle peut être déclenchée sans interaction de l’utilisateur – et que toutes les versions de Windows étaient affectées. Faille corrigée ce mardi 9 mai via la CVE 29324.

Des millions de smartphone à petit prix infectés par du code malveillant

Selon des spécialistes présents lors de l’événement Black Hat Asia, des développeurs peu scrupuleux ont réussi à infecter des millions de smartphones Android avec des micrologiciels malveillants avant même que les appareils ne soient mis en vente.

Des experts ont souligné, lors du rendez-vous Black Hat Asia, que cela affectait principalement les modèles d’appareils Android moins chers. Le problème réside dans l’externalisation, qui permet aux acteurs de la chaîne de production, tels que les développeurs de micrologiciels, d’introduire clandestinement du code malveillant.

Les spécialistes de Trend Micro ont qualifié ce problème de « croissant » pour les utilisateurs et les entreprises. Fedor Yarochkin de Trend Micro explique la situation de la manière suivante : « Quel est le moyen le plus simple d’infecter des millions d’appareils mobiles ? Faites-le à l’usine. Cela peut être comparé à un arbre qui absorbe un liquide : si vous apportez l’infection à la racine, elle se propagera partout, y compris chaque branche et chaque feuille.« 

Selon Yarochkin, cette pré-installation de logiciels malveillants a commencé à se répandre après la baisse des prix des smartphones. La concurrence entre les développeurs de micrologiciels est devenue si intense qu’ils ne pouvaient plus demander des sommes importantes pour leurs produits.

Cependant, il n’y a rien de gratuit dans cette situation. Par conséquent, les développeurs ont commencé à introduire des plug-ins appelés « silencieux« . L’équipe de recherche de Trend Micro a étudié plus d’une douzaine d’images de micrologiciels et a découvert plus de 80 de ces plug-ins. Leur fonction est de voler des données et de fournir certaines informations, ce qui aide les développeurs à générer des revenus. Les logiciels malveillants préinstallés en usine transforment les appareils mobiles en proxy utilisés pour voler des SMS et accéder aux comptes de réseaux sociaux. Ils facilitent également la fraude au clic.

50 fournisseurs de téléphones montrés du doigt !

Les experts ont souligné qu’ils ont pu détecter des logiciels malveillants préinstallés sur les téléphones d’au moins dix fournisseurs, et il est présumé qu’environ 40 autres fabricants pourraient être confrontés à une situation similaire. L’équipe de Yarochkin recommande aux utilisateurs de choisir des smartphones Android de marques connues (donc plus chers) afin de ne pas être victimes de logiciels malveillants préinstallés.

Cette situation est principalement observée sur les modèles d’appareils Android moins chers. Les acteurs de la chaîne de production, tels que les développeurs de micrologiciels, exploitent l’externalisation pour introduire clandestinement du code malveillant. Ces logiciels malveillants préinstallés en usine transforment les smartphones en outils de vol de données, d’accès aux comptes de réseaux sociaux et de fraude au clic. ZATAZ vous alertait de cette situation concernant des claviers d’ordinateurs, ainsi que les boîtiers vidéos vendus sur des plateformes telles qu’Amazon ou AliBaba.

Bien qu’aucun appareil ne soit totalement immunisé contre les menaces, investir dans un smartphone de meilleure qualité peut réduire le risque d’infection par des logiciels malveillants préinstallés. Il est également important de prendre d’autres mesures de sécurité pour protéger son appareil. Les utilisateurs doivent être prudents lors du téléchargement et de l’installation d’applications, en vérifiant leur source et en lisant les avis des utilisateurs. Il est recommandé de garder son système d’exploitation et ses applications à jour en installant régulièrement les mises à jour de sécurité fournies par le fabricant. De plus, l’utilisation d’une solution antivirus fiable sur son appareil peut contribuer à détecter et à bloquer les logiciels malveillants.

Des entreprises tardent à corriger la vulnérabilité GoAnywhere MFT même après les attaques du rançongiciel Cl0p

Des dizaines d’organisations sont toujours exposées à des cyberattaques via une vulnérabilité largement exploitée dans GoAnywhere MFT, un outil Web qui aide les organisations à transférer des fichiers.

Depuis février 2023, les groupes de rançongiciels Cl0p et Blackcat ont cyber attaqués des dizaines de grandes entreprises et gouvernements du monde via une vulnérabilité zero-day GoAnywhere (CVE-2023-0669).

Les gouvernements de Toronto et de Tasmanie ont été touchés par l’incident aux côtés de géants comme Proctor & Gamble, Virgin et Hitachi comme avait pu vous le révéler le blog dédié à l’actualité de la cybersécurité ZATAZ, à l’époque.

Un correctif pour la vulnérabilité avait été publié en février, ce qui n’a pas empêché Cl0p de compromettre plus de 130 organisations.

Il y a quelques jours, une société de cybersécurité a pris son abonnement chez Shodan est a regardé les machines encore connectées. Plus de 2 mois après la divulgation de ce 0Day, 179 hôtes affichaient encore des panneaux d’administration GoAnywhere MFT ! 30% d’entre eux montraient qu’ils n’étaient pas encore mis à jour.

Petites entreprises, grandes menaces : restez informés, restez protégés

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